La résistance face à l'impatience de la vie

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Le soleil était brulant, détruisant et rougissant. Dès mon arrivé à la maison j'eus pris mon bain, froid, pour me détendre et calmer mes nerfs qui semblaient me lâche à mi-feu. Pendant ce temps,le moment où je prenais mon bain,dans mon esprit se trottait encore, l'expression... Nuit et jour,nuit et jour, même cette eau glacée n'a pas pû l'évacuer de ma tête. Espérant que le sommeil le pouvait,j'en ai fait une priorité, au-devant des notifications dont j'étais sensé vérifier en premier lieu.

J'ai donc regagné la chambre qui m'était alloué,et je me suis jetté à tout le sens. D'abord,je m'étais servi de mon dos comme appui,mon regard était fixé au toit, mais je n'arrivais pas à m'endormir; et après, c'était le tour de ma côte droite de servir d'appui. Vous connaissez tous cette fameuse position, aimée de tout le monde, singulièrement des femmes,et recommander à celle enceinte. Malgré toutes ses vertues,ce jour là, elle m'a servi à rien et sans arrêt, ça criait dans ma tête, cette idée de comparaison.
L'étrange est que malgré toute cette pression,la jeune Dame,aux lèvres roses ne quittaient pas non plus mes pensées et je m'étais décidé de réfugier,en elle, ma pression.
Je pensais constamment à elle,et honnêtement, ça me soulageait plus que je l'aurai imaginé. Au bout du compte, j'ai pris mon téléphone et je ne me suis pas empêché de voir si j'étais notifié par elle. Progressivement,du haut en bas,je sillonne la liste de mes messages,avec regret, je n'ai reçu, même pas un simple, salut venant d'elle. À la minute,je me suis démystifier et j'ai fait face à la réalité. Elle était toute simple cette réalité, descriptible en deux mots si on le voulait. Premièrement,ce que je rêvais, il s'agissait d'un rêve,ce genre de rêve où,on s'accroche et on s'interdit de se réveiller,au point d'ignorer l'alarme qu'on aurait volontairement mis en mouvement,ce style de rêve qui change l'humeur,en bien, mais que ça réalisation paraît au fur et à mesure, irréalisable. Et deuxièmement, c'est que je perdais pieds; j'étais hors de contrôle et qu'au final je cessais de disposer de ma personne. Un sentiment dont je réfutais à temps record, mais est que malgré mon impassible sens d'être, L'évidence me coller à la peau.
Bien que clarifier, j'ai peiné encore pour m'en désannexer,et je luttais encore entre ma liberté et l'illusion dont je m'étais fait prisonnier.

Demeure-je pour longtemps encore enclaver dans cette situation? Ne serait-il pas très tôt aussi commencé à penser à passer à autre chose?,me posais-je ses questions à tendance opposées. Sans avoir eu le temps d'y répondre,mon téléphone qui jusque là n'avait pas quitté mes mains se mettant à vibrer au même rythme que le battement de mon cœur...

Une Traversée...Where stories live. Discover now