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précisions de l'auteurice : ceci est une fiction inspirée de la Révolution Française, ce qui signifie qu'il y a des choses qui ont été INVENTÉES. Jisung ici est le frère adoptif du roi Louis XVI. Évidemment CE N'EST PAS LE CAS dans la vraie vie, et il est même possible que juridiquement parlant, l'adoption n'était pas connue en 1773, un an après la naissance de Jisung.

Par ailleurs, JE SAIS que la prise de la Bastille et l'invasion du château de Versailles sont éloignées de trois mois (juillet à octobre), mais pour le bien de l'intrigue, j'ai voulu rapprocher ces deux événements de sorte à ce qu'ils soient simultanés. Rappelez-vous que ce n'est pas un cours d'histoire, c'est une fanfiction qui REPREND des éléments de la révolution. Les événements sont réels, mais juste la chronologie n'est pas respectée. Donc ici, ceux-ci se passent en juillet, le jour de la prise de la Bastille.



ROYAL HIGHNESS IS SACRED ; yunhxmen

On était le 14 juillet 1789, et Jisung était enfermé dans sa chambre. Cela faisait bientôt deux heures que son frère, le roi de France, l'avait confiné dans cette pièce avec comme ordre de ne jamais en sortir. Il tournait en rond depuis.

Jisung était quelqu'un de très nerveux, de très névrosé. Quelqu'un qui n'aimait pas quand les choses lui échappaient. Il aimait l'ordre, que les choses soient organisées et surtout : avoir le pouvoir de faire ce qui lui plaît.

Mais depuis que son frère à été au pouvoir, c'est à dire en 1775, il n'était plus maître de sa propre vie. Tout ce qu'il faisait était en fonction de son roi, et son image dépendait des actions de son frère. Jisung aimait son frère, à ne pas y douter, mais les règles qui suivaient son couronnement lui étaient tout bonnement insupportables. Surtout quand son frère faisait bourdes sur bourdes vis à vis de son peuple.

Peuple qui a fini par voir rouge, en colère, furieux, et qui a fini par se retourner. Ils avaient des fusils, des armes meurtrières qui visaient la famille royale entière. Toute entière. Alors même que Jisung était innocent. Il n'avait strictement rien à voir avec son frère concernant ses actions, il avait même essayé de conseiller quant à ce qu'il faudrait faire pour soulager le Tiers État.

Mais que vaut l'avis d'un jeune homme de dix-sept ans, contre un homme de 35 ans, et contre un gouvernement entier qui visait uniquement le pouvoir et l'argent ? Hormis le ministre Necker, qui était réputé pour apaiser tant bien que mal le peuple. Et voilà qu'en ce beau juillet, le seul qui avait su se faire entendre par le peuple se fit destituer de ses fonctions.

𝐒𝐄𝐍𝐓𝐈𝐌𝐄𝐌𝐓𝐀𝐋𝐄𝐌𝐄𝐍𝐓 𝐕𝐎𝐓𝐑𝐄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant