Loneliness ( corrigé )

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À la rentrée, tous les regards étaient rivés sur lui, ça lui faisait mal à la tête. Il est donc parti à la tour d'astronomie en essayant de ne pas faire de crise.
Mais dans la grande salle, deux personnes furent choquées de l'état du survivant, Snape et Draco ; ils avaient eu l'ordre de surveiller et de protéger Harry jusqu'à ce que leur maître vienne le récupérer.
Draco lui sent voulait d'avoir été aussi injuste avec Harry à cause d'une poignée de main, mais c'était sa fierté qui avait été touchée et était restée vexée longtemps ; mais maintenant qu'il voit dans quel état il est, il se dit qu'il n'aurait pas dû être aussi têtu et essayer de comprendre le survivant qui avait eu comme seule information sur Serpentard c'était que l'un d'eux qui avait tué sa famille.

Ce fut donc pour cela que Draco sortit de la grande salle pour suivre Harry qui se dirigeait vers la tour d'Astronomie. En arrivant devant les escaliers, la première chose qu'il entendit fut un cri de rage, de tristesse, de folie et de douleur. Il y avait tellement de souffrance dans cette voix que le blond ne put faire qu'une chose : rejoindre le Grand Harry Potter.

« Harry ? »

Malfoy Qu'est-ce que tu fais ici ?

« Je veux te parler. »

« De quoi ? »

« Tu as mal. » Dit le blond d'une voix douce.

« Non, je n'ai aucune blessure. »

« Tu souffres à l'intérieur. » « Je regrette ce que je t'ai fait ces dernières années, s'il te plaît, Harry. » « Est-ce que je pourrais retenter ma chance ? »

« Si tu veux. » « Je m'en fous, de toute façon. »

« Bonjour, je m'appelle Draco, Draco Malfoy. »

« Bonjour, je m'appelle Harry, juste Harry. »

« Je t'en prie, devenons amis, Harry. »

« Si tu y arrives, Draco Malfoy. »

Ry, dis-moi, pourquoi tu es parti en courant de la grande salle ?

« J'allais faire une crise de panique. »

« Pourquoi cela ? »

« Les regards des autres, ils me perturbent. »

Tout son regard mélangeant de l'espoir, de la pitié, de l'espérance, de la jalousie et de la tristesse. Tous ses regards qui attendent que vous mourrez pour eux, alors qu'ils n'ont rien fait à part regarder votre déchéance. Finalement, la liberté qu'offre la mort n'est pas si mal.

« À quoi tu penses ? » demanda Draco.

« Rien. » répondit Harry, sur la défensive.

« Je sais que tu mens, mais ce n'est pas grave. » « Tu ne me fais pas suffisamment confiance pour l'instant, je comprends. »

« Merci. »

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Je ne suis pas l'antidote, je suis le poison ses la tout mon charme .

Coucou , désolé pour le retard , j'étais très occupé mais maintenant ses bon je reprend l'histoire, pour ceux qui lisent mon autre histoire je suis à cour d'imagination,

Voilà bonne lecture ♥️♥️♥️♥️♥️

merci a marionlachelou pour les correction et les aide 🖤🖤🖤

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