Dans ce chapitre, les phrases entre ** sont les pensées d'Harry, son subconscient si vous préférez.
Donc non, ce n'est pas Voldemort qui lui dit tout ça, n'oublions pas que c'est un Tomarry quand même.
Du verre et des morceaux de bois parsemaient le sol, au milieu de tout ça, un corps détruit et brisé, physiquement et mentalement, se demandant sérieusement s'il méritait cette vie, mais c'est quelques minutes plus tard qu'il prit une décision...
*je le merite.....je mérite de souffrir , ses ma faute......pardonner moi......je ne suis qu'un monstre.*
Oh, comme il était pathétique comme ça. Seul et blessé dans cette chambre miteuse et dans ce semblant de vie.
« Garçon, descend tout de suite ! » Quelle joie d'entendre sa voix !
Harry descendit donc, avec une lenteur à en faire pâlir les escargots, les escaliers pour se diriger vers le salon, où trois personnes l'attendaient, Vernon, Pétunia, et... Marge ?
« Encore la toi ! » Sa ressemblance avec un ballon ne faisait plus aucun doute.
« Oui, malheureusement ». « Garçon, tu vas rester dans ta chambre jusqu'à ce que Marge parte. »
« Oui, Mon oncle. »* Et c'est moi qui dois débarrasser le monde magique du Seigneur des ténèbres.*
Il retourna dans sa chambre et pleura. Il pleura pour sa souffrance, les morts, les regrées, trop de regrées et parce qu'il était sale.
Il pleura, car il était un monstre.
* De toute façon, que fais-tu à part te lamenter sur ton misérable sort ?
C'est toujours un plaisir de se faire rabaisser par son propre subconscient.
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Ce fut quelques jours plus tard qu'il trouva un ami, un petit serpent qui était coincé dans les ronces. Il était devenu en quelque sorte son confident. Il avait les yeux bleus et son écaille était marron avec un reflet rouge.
Et comme pour son amie, la petite créature l'abandonna.
Un autre jour où il se refaisait violer et battre *comme ses navrants, tu ne sais même pas te défendre contre de simples moldus, on en croirait presque que ça te plaît.*
Il entendit une voix dans sa tête. Une voix grave et très séduisante qui lui disait de se tenir près, car le jeudi 13 aout, il le sortira d'ici.
* Rêve toujours *
À ce moment-là, une chose qu'il avait perdue il y a quelques mois réapparut ;
L'espoir
* Pour les monstres tels que toi, ça devrait être en enfer que tu devrais aller.
Aujourd'hui, on était le 10, donc dans 3 jours, il verra son potentiel sauveur.
Mais l'espoir fut bien vite oublié face aux insultes et aux coups qu'il recevait de sa « si chaleureuse famille » qu'était son oncle.
* Si Cedric est mort, c'est de ta faute *
Il oublia aussi les merveilleux mots tels que monstre, anomalie, meurtrier, etc. Vernon lui avait même gravé au couteau ces magnifiques mots sur les cuisses, bien sûr, c'était indélébile.
*Tes parents sont morts, car tu attires le malheur et la désolation.*
Le Brun était plus que dégoûté de son corps.
* Non, en réalité, tout chez toi te dégoute.*
Le 13 était arrivé à sa fin et rien, personne n'était venu.
* Tu vois, n'attends rien, tu n'en vaux pas la peine. *
Il se fit donc une promesse : n'avoir espoir en plus rien, même plus en
la vie.Il se promit aussi d'accueillir la mort comme une vieille amie, qu'il suivra avec joie et que, tels des égaux, ils quitteraient ensemble cette vie de merde.
petit bonus ;
" le chagrin est un poison pour ceux qui ne savent pas pleurer "
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la vie et faite de regrées
FanfictionQue faire quand on ne sais plus qui on est ou quand on ne sais plus différencier potter de harry ? Comment reste saint d'esprit quand tout nos reper se fond détruire en un rien de temps ? Comment vivre ? Peut tu me le dire ? -les personnage ne...