Vous avez ravivé les flammes de douleur du passé. Le même scénario s'est répété, et sans aucun mot, ils ont fait renaître celle qui n'était plus. Ils ne le savent pas, et tant mieux. Sincèrement je voudrais être comme eux, ignorants face à mes douleurs, à mes craintes, à mes insécurités, mais je ne peux rien nier, à partir du moment où c'est moi qui est forcée de le ressentir. Comme un démon ayant emprise sur moi, le rejet ne fait que de me suivre là où je vais. Maintenant n'osez plus m'approcher, de peur que vous aussi finissiez rejetés par ceux qui, normalement, vous aimais et vous supportais comme vous étiez. Maintenant je ne suis plus rien à leurs yeux, et c'est peut être mieux comme ça, au moins maintenant ils m'apprécient à ma juste valeur.
Mais...
... c'est marrant, la douleur je ne la ressens pas. Je pense qu'à force de ressentir, mon corps et mon coeur a décidé de ne plus ressentir.
En fait, ce n'est pas mon corps qui ne ressens rien, mais c'est Moi, mon âme et ma conscience qui a décidé cela.
« Je tire et je tue, tu meurs et c'est bon, t'avais qu'à fermer ta grande gueule »
- Dieu ne ment jamais, Damso« Now I feel like I'm broken »
- Too serious, The Neighbourhood
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Que des longues gamberges...
PoetryEntre déprime et mélancolie, les pensées d'une overthinkeuse...