Gérôme

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Dans la peau de Gérôme...
Ça fait un moment que j'ai l'impression d'être suivis... mais à chaque fois que je vérifiais il n'y avait personne... je fesais la file dans un rang vers un gicher près d'une banque afin de mettre l'argent sur mon compte... quand un homme sur une moto noir m'interpella il était vêtus de noir de haut en bas je voyais même pas son visage à cause de son casque .

— Gérôme

— oui ?

— je tiens à vous parler Gérôme je suis intéressé pas l'un de vos produits.

— ah ok , repasser plus tard là moi je suis un peut occupé comme vous le voyez.

— s'il vous plaît je suis vraiment en manque là .

— ok j'ai que des comprimés sur moi .

— c'est combien ?

— normalement c'est 20milles mais comme vous en avez besoin et que vous avez l'air désespéré et près à tout pour votre dose quotidienne je vous vendrais ses comprimés a 50milles .

— ça marche .

J'essayais de faire sortir les comprimés de ma poche quand il m'arrêta .

— il y'a une caméra vous n'allez quand même pas me l'a donné ici ?

— vous voulez que je vous donne ça où alors faut pas ils vont prendre ma place hyn .

— calmer vous allons plus loins , montez sur ma moto .

— non , je préfère marcher .

Il me suivait avec sa moto en roulant très lentement c'est à cet instant qu'il a choisi un endroit, c'était une sorte de couloir...

— et si on allait laba ?

— ok .

Au moment où je m'apprêtais à faire sortir la drogue quand je me suis redressé face à lui j'ai vu un pistolet...

— (choque) ehhh vieux Yakoa ?

— tu connais cette armes ?

— ...

— c'est une silencieuse, on l'appel comme ça parce qu'elle émets aucun bruit logique . Mais la différence entre elle et toi c'est que elle elle est Fidel la qualité qu'à cette arme c'est qu'elle ne fait jamais de bruits c'est là la différence qu'il y'a entre vous si tu avais fermé ta bouche nous en serons pas là. Dit il .

A ce moment là quelqu'un est rentré dans ce couloir par inadvertance pour vider des poubelles et nous aperçu sans rien comprendre cette personne est retourné vaquer à ses occupations en effet j'étais face au cul de sac et mon "clien" lui était de dos avec son armes qui ne se voilait certainement pas de là où elle était . Ne serait-ce qu'une minute je voulais crier à l'aide mais je serais également jeter au trou à cause de la drogue que j'avais en ma possession Epuit j'avais récemment fait un tour dans ce merveilleux endroit qu'est la
Prison et je m'en étais sorti avec un avertissement grâce à mr loba , alors j'imagine que si cette fois j'y suis s'en n'est fini de moi ... j'ai donc profité de la situation pour essayer de lui arracher son arme . Nous avons longuement lutter coup de point par ci coup de point par là...

— pourquoi tu t'arrêtes ? Viens .

Je me disais que si il voulait me tuer il l'aurait déjà fait c'est bizarre...

— pourquoi tu m'as pas encore tué ?

— ça ne saurais tarder.

—  tu ne veux pas me tuer . Dis-je en m'avançant...

LES ENFANTS DU PAIYA.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant