Naruto
Je me réveille tranquillement, essayant de toucher à mes côtés si c'était bien réelle ou un rêve et ne sentant personne, je m'écroule en larme*c'était juste un rêve* pensais je. Pourtant j'avais l'impression que c'était réel, tous était parfait , je ressentais tous son amour , tous son pardon dans ces gestes et encore plus quand il m'a simplement soufflé à l'oreille* je t'aime* c'est comme si mon monde c'était réveillé en moi. J'étais submergé par toutes les émotions, rien était comme y'a encore quelques temps,non c'était plus que cela. Même de repensé, je crois avoir réellement vécu ce rêve comme une réelle réalité. Épuisé tout de même, Je vois que Sasuke n'est pas rentré de la nuit, il a du passé encore sa soirée à baisé je ne sais qui. Je pleure encore une fois, serrant mon ventre comme pour avoir un soutient. Énormément de choses me traverse l'esprit, que je suis lasse , la porte s'ouvre et je me redresse de peur, c'était devenu Instinctif maintenant quand il entre. Pourtant je fût plus que surpris par ce que je voyais devant mes yeux, Sasuke avait préparé un plateau de petit déjeuner, j'avais l'impression d' halluciner comprenant pas vraiment pourquoi,
Sasuke : bonjour, Naru, redresse toi correctement, on prends le petit déjeuner au lit ce matin, ok
tout cela en me disant dans un calme et venant s'installer à mes côtés. Il m'embrasse tendrement, moi par contre j'étais complètement perdu,
Sasuke : allait Naru, tu dois mangé pour notre bébé,
je suis étonné mais réalise enfin que ce n'était donc pas un rêve, il m'avait vraiment prononcé ces trois mots hier * je t'aime* , je ne sais pas comment réellement réagir c'était juste inattendu. Mais en repensant aussi à notre nuit, jusqu'à la fin il à était plutôt doux, amoureux, mon époux *est ce grâce à l'annonce de notre enfant cela se pourrait* pensais je.
Naruto :, merci, Sasuke, mais je ne peux plus vraiment prendre de café maintenant,
Sasuke : c'est pour sa que je t'ai fait du chocolat,
nous mangeons ensembles même si sa paraît bizarre après tous ce qui c'est passé jusqu'à présent. Je me sens tous de même heureux, mais avec un peu de recul à se changement soudain,
Sasuke : Naru, si tu as quelques choses à me demander, fait le,
je réfléchi tous de même, hésitant un peu car c'est toujours intimidant même de lui parlait. Il voit très bien la peur que je ressens, et me serre dans ces bras en m'embrassant amoureusement,
Sasuke : je ne veux plus que tu es peur de moi, je te demande pardon pour tous Naru. Tu n'es pas obligé d'accepter mon pardon, ni même moi tout cour. Je comprendrais ta réaction mais pourrais tu me laissé une seconde chance de tous changé et te prouver combien je t'aime,
je suis surpris par ces dires, je ressentais toutes sa sincérité dans chaque mots prononcés, chaque paroles dites c'était ce qui fit battre mon coeur,
Naruto : pourtant je t'aime toujours après sa. Je peux te pardonner mais j'aurais encore du mal à moins avoir peur, ou trembler à l'attente de ta voix dur et froid mais je vais faire un effort pour que sa marche mieux cette fois,
il me sourit, heureux de m'entendre dire cela,
Sasuke : merci, chéri,je te promets de mieux faire dès aujourd'hui et d'être plus calme en te parlant,
je lui, sourit et l'embrasse ,
Naruto : mais dit moi, pourquoi ce changement soudain, Sasuke, je ne comprends pas trop, est ce à cause du bébé,
Sasuke : oui, je crois que j'ai enfin compris que je m'étais trompé depuis le début,
Naruto : trompé sur quoi,
Sasuke : alors tout d'abord si depuis un an , je te fais vivre un enfer c'est parce que j'avais découvert pourquoi on à était obligé de se marier,
Naruto : oui, pour la fusion des deux entreprises, je le savais aussi mais je me suis pas comporté comme un gros connard envers toi, tu n'en ai aucunement responsable comme moi,
Sasuke : oui, je le suis ce fameux connard , je ne peux pas te faire penser autrement car c'est vrai. Mais c'est parce-que notre 'entreprise avait été détourné et financièrement en a perdu gros c'est pour sa cette fusion entre nos deux familles .Le problème c'est que je pensais que tu savais et que tu m'avais rien dit , je me suis senti trahit , que je t'ai comparé à tous les autres qui m'ont toujours lécher les bottes pour leurs propres besoins.
j'étais choqué par ce qu'il venait de me révélé, il m'a fait vivre un enfer depuis tous ce temps à cause de ces pensées délirante qu'il c'est infliger lui-même, * non mais j'hallucine *.
Je le fixe, il baisse les yeux, tiens c'est étrange d'avoir cette emprise de devoir réussir à faire baissé les yeux à celui qui c'est toujours permis de me le faire,
Naruto : regarde moi, sasu, s'il te plaît,
il hésite à le faire, je vit ces larmes couler c'était la première fois depuis que nous sommes mariés, qu'il me montre ces faiblesses que je me sent brisé en deux. J'avais tellement l'habitude de voir son mépris, son ton froid et dur, son impassibilité. C'était pas ce Sasuke que je voudrais voir à l'extérieur mais plutôt entre nous dans notre lieu de vie,
Naruto : sasu, je t'aime, je n'étais pas du tout au courent de ce que tu m'annonce. je te jure et même s'il je l'avais apprit je t'aurais prévenu car tu es mon mari,
il me regarde comme pour être certain de mes paroles, son expression change comme s'il réalise que j'avais pas menti. Il me serra encore plus dans ces bras comme pour tout effacé,
Sasuke : pardonne moi, je suis un gros enfoiré pourquoi je ne t'avais pas simplement posé la question à ce moment là que de te faire subir sa.
Naruto : maintenant, tu as décidé de changer alors c'est déjà un bon début mais sa me prendra réellement du temps pour ne plus ressentir encore cette peur, et ces angoisses,
Il était complètement anéanti, c'est vrai qu'il aurait pu éviter tous cela,s'il m'avait simplement parlé. Mais pour moi, c'était enfin clair maintenant et je comprenais maintenant nos parents. Même si y'a trois ans , on étaient surpris, senti trahi par nos parents maintenant c'était finalement pour bonne cause. Et maintenant je peux me dire que je suis heureux de mettre marié avec Monsieur Sasuke Uchiwa. Il m'embrasse et je prolonge notre baisé, c'était doux, amoureux que je put éviter de frissonner grâce à ces touchés sur ma peau encore nu. Mon mari était tout autant que moi, que nos corps se désirés, le petit déjeuner fit de courte durée que nos langues se languir de se retrouver l'un avec l'autre. Je l'aimer tant cette homme, malgré ces gestes passés il l'a cette fois était juste avec moi et lui même.
Suite prochain chapitre.
