Il est parti (8)

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Sasuke

Quand je pense que je me suis fait avoir comme un bleu, c'est vraiment pathétique. Je n'aurais jamais pensé que mon cher souriant mari pouvait être un manipulateur de la pire espèce. J'avais à ce moment là, envie de lui mettre mon poing dans la figure de m'avoir berné aussi facilement. Je peux comprendre qu'il est pû aller voir ailleurs car je l'ai fait et pas qu'une fois mais de me ramener un rejeton qui n'est même pas de moi là c'est le pompon. On lisant cette lettre au fur et à mesure mes yeux s'agrandir, je n'arrivais pas à y croire, c'était complétement devenu fou dans ma tête. La seul chose que je voulais c'était au moins qu'il reconnaisse mais il resta sur sa décision de départ. J'avais envie de le faire dire la vérité, qu'il assume cette foutu vérité mais qu'il soit honnête envers moi. Il restait toujours sur ces positions comme je ne peux le toucher pour éviter malgré tout de faire du mal à son gosse, Je préféré partir. Depuis,je rentre quand j'ai envie, parfois après deux à trois nuits dehors tant que je le vois plus. Plusieurs fois, j'étais rentré à deux , trois heures du matin, je l'entendait pleuré, sa me fesait quelques choses mais il le mérité, j'en ai la conviction.
Quand je replongé dans mes pensées, je l'imaginais avec cette autre ordure qui à osé le touché, le faire gémir et en plus l'angrosser sa me met hors de moi. Même mes pensées les plus fou, de le torturé ce fils de pute, de le tué , de trouvé qui sait et le tabassé à mort pour qu'il comprenne à qu'il avait à faire. Le repas familial avec nos parents, était comme à son habitude au départ, et fût un fiasco c'est dire que Naruto ne c'est pas laissé démonter même ces parents n'en revenait pas. Moi je fesait que regardé la scène sans rien dire , c'était pas mon problème après tout, je m'en foutait royalement. Naruto, pû dire ce qu'il avait à dire me lança son dernier regard, ce regard d'être déçu et de le laissé tombé dans un moment pareil. Maintenant que j'y repense, sa m'a traversé l'esprit un moment * et si c'était une erreur* sa peut arriver non* mais cette question resta en suspens jusqu'à aujourd'hui. Je m'étais dit que c'est peu probable que le laboratoire d'analyses puisse faire ce genre d'erreur surtout que c'est très grave. Donc, je continuais ma vie et lui de son côté, plus rien, plus de tym de voix, plus de regard tout était simplement vide et fade dans notre maison. Ont se croisé comme des inconnus, j'arrivais, il partait à son travail sans rien c'était notre quotidien à présent. Jusqu'à ce qu'un soir je rentre vers dix huit heures mais c'était trop calme. Pour moi , mon Naru dormait sûrement déjà mais en entrant dans la cuisine, rien avait été préparé, aucune vaisselle dans le levier c'était nickel. Je monte dans ma chambre en passant à côté du sien , une chose plutôt une force invisible m'obligea à ouvrir pour voir s'il était à l'intérieur. Je fit, j'ouvris la porte, mes yeux ne vu personne sur le lit, mes oreilles n'entendit aucun bruit dans la salle d'eau. Je redescendit au rez de chaussée et regard dans le jardin à l'arrière de la maison personne. Je remonte est va dans ma chambre, rien là je ne sais pas où il est. Mais comme je suis très intelligent, je retourne dans sa chambre et ouvre son armoire et là bingo , je suis fixé * cette enfoiré est parti* où surement chez le père de son mouflet. Et comme, une force de destruction je casse tous dans sa chambre, je hurle des insultes je crie ma colère* pourquoi m'avoir trahi* c'était avec cette pensé et mort de fatigue que je m'endormis dans son lit. Il est cinq heures du matin quand je me réveille, un mal de crâne me frappe intensément. Je regarde autour de moi, essayant de reprendre réellement mes esprits. * Pourquoi je me retrouve dans la chambre de Naruto et pourquoi il n'est pas là* cette pensée me traverse l'esprit. Je me lève, difficilement dû à mon mal de crâne, je ne comprenais pas pourquoi alors que je n'ai pas bu hier soir et  que très rarement c'est peu dire que je ne bois jamais mais bon. Mon regard se perd dans la chambre, met une chose m'intrigue la chambre est en dessus, dessous comme si une bagarre avait éclaté. Mes yeux s'agrandir, une pensée me traverse l'esprit plus grave * merde je ne l'ai pas frappé, j'espère* je sors immédiatement de la chambre regarde partout rien,nada, personne. Je réfléchis, et je contacte l'hôpital, non rien,donc sa va je reprends mon souffle mais dans ce cas où il est. Je me prépare un café, prit un cachet et m'installe à la cuisine, j'essaie de me rappeler de mon retour hier et une lumière s'illumine dans ma tête* bien sûr, c'est moi qui est tous pétés car il était parti* je fût soulagé malgré tout. Mais après cela une autre pensée me vient* j'espère pour lui, qu'il n'est pas chez ce fils de pute sinon je le bute* que ma colère revient à la charge. Mes poings serrés, mes dents serrés on imaginons simplement ce conard avec mon mari, lui fesant l'amour, lui fesant gémir son plaisir, l'embrassant ces lèvres que seul moi avait droit de connaître le goût. J'étais devenu complètement fou et perdu , que je réagit à la sonnerie de mon portable, je regarde aucunement qui sait est répond froidement,

Sasuke : qui ose me déranger,

j'entends un souffle, une hésitation et réitère ma question cette fois avec plus de froideur et durement,

Sasuke : alors tu réponds,qui ose me déranger,

et la voix, hésitante répond enfin,

??? Excuses moi de te déranger Sasuke c'est Sakura,

je pouvais pas mieux tombé car grâce à elle, j'ai découvert la trahison de mon mari ,

Sasuke : qu'est ce que tu m'veux ,

toujours avec mon ton  froid ,

Sakura : je voulais simplement savoir, si sa te dit de te balader au parc avec moi,

sortir prendre l'air, oui pourquoi pas sa va me changer de mes pensées de tueur ou de psychopathe,

Sasuke : ok , j'y serais dans dix minutes,

après lui avoir dit sa, je raccroche sans attendre un retour. Je me lève, et regarde autour de moi, cette foutu baraque est vide, fade , pas âme qui vive. Alors que encore y'a peu de temps, c'était chez nous, notre foyer, notre futur. Je sort et rejoint Sakura au dite parc. Arrivant, elle vient tous sourire vers moi, je fit rien , elle m'attrape par le bras et marchant. Je ne disais rien, ne me préoccupant même pas de ce qu'il se passait autour de moi, je l'entendais d'une oreille mais ces dires ne m'intéresser aucunement. Elle me soulé déjà, alors que sa fesait que cinquante minutes qu'on est dans ce foutu parc. Plus rien ne m'apporter de  joie, j'étais vide, il me manqué trop finalement.

Suite prochain chapitre.

Pourtant je t'aime encore Où les histoires vivent. Découvrez maintenant