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PDV Leon :

Mes pas me conduisent vers une autre maison, par laquelle un bruit strident sans échappe. Une escale ne devrait pas poser de problème, après tout, elle est sur ma route pour atteindre la moulin à vent. Lorsque je rentre, le bruit s'intensifie et est beaucoup plus identifiable, du fer qui s'entrechoque. Prudemment,  j'avance dans les couloirs du bâtiments et ce, très discrètement. J'ouvre une port, là d'où semble provenir le bruit et en découvre la cause. Un homme, à l'aide d'une barre de fer est entrain de condamner une trappe avec des planches en bois. M'avançant vers lui à petit pas, je sors ma lame et égorge sec l'homme qui s'effondre sur le sol. Les clous rouillé enfoncés dans les planches sautent au moindre coup de ma lame. Peut-être ont-ils placé Ashley ici avec tout le boucan que j'ai fait. Une fois cela fait, je m'engouffre en dessous de la maison et, à l'aide ma lampe torche, explore les environs. Quelques pas plus tard, je trouve tout au fond de la pièce un sac, mouvant et bruyant. Je calle ma lampe entre mon épaule droite et ma joue et ouvre le sac. Malheureusement, la personne captive n'est pas celle que je cherchais. C'est un homme un peu plus vieux que moi, peau mate, cheveux bruns mi long, encordé avec un adhésif sur sa bouche. Il bouge beaucoup et semble paniqué, rien d'anormal en soit. 
Sans aucune hésitation je retire sec l'entrave qui limite la conversation.  Il fronce les sourcils en fermant les yeux et grogne légèrement de douleur. 

Luis : Tu sais que ça fait mal ?

Son regard est quelque peu accusateur. 

Leon : Désolé, t'avais l'air d'avoir très envie pourtant.

Luis : Luis : Perspicace Señor, et euh.... t'as pas une clope ?

Leon : Non merci, je tiens à ma santé. 

Luis : Oh oui euh...est-ce que tu peux me détacher ? 

Je soupire et commence à le détacher. Les nœuds sont plutôt serer et chiant à défaire. Ca risque de prendre trop temps si je continue comme ça, autant utiliser ma lame. 
Le regarde de l'homme se porte derrière moi et écarquillent les yeux. 

Luis :  ¡Joder! Manquait plus que lui...! 

Je me tourne et vois un individu étrange s'approcher de nous. Je sors mon flingue et le lève devants moi afin de viser l'homme et ainsi le menacer.

Leon : Restez où vous êtes ! 

L'homme me désarme sans aucune grande difficulté et m'attrape par le cou pour me balancer violement contre des caisse en bois. Ces dernières se brisant sous mon poids. Le contre coup est intense et violent, ma vue se trouble et mes oreilles sifflent. Mon corps n'a plus la force de bouger, laissant donc ma vue si peu nette voir l'individu s'approcher de moi.
Puis, plus rien.
Le noir complet.....





















??? : Agneau sacrificiel. Tu vas recevoir notre corps le plus sacré. Ca commence maintenant.































Lorsque je me réveille, un léger mal de crâne persiste avant de s'estomper petit à petit. Le temps de reprendre mes esprits passer, un léger coup de froid me réveille. Je n'ai plus ma veste et je suis accrocher au plafond par des chaîne en fer. De plus, je n'ai plus mes armes. Putain il ne manquait plus que ça. Je tire sur la chaîne, glissant dans la poulie du plafond. 

Luis : Hé, arrête ça !

Alors ce type est avec moi, super. Je me lève et regarde la poulie. Elle n'a pas l'air très solide surtout quand on voix l'état du plafond en bois. 

Resident Evil : Coming of ContaminationOù les histoires vivent. Découvrez maintenant