Ange ou Démon ?

¤Chapitre 6¤

Ok, j'ai paniquer.

J'aurai pu continuer, mais quand Ty ma posé sur mon lit, il m'était presque impossible de le faire.

Ty a commencer à s'énerver, il m'a crié dessus en me disant que je suis nul.

La fin de l'histoire ? j'ai pleurer.

Je me tiens devant lui, la vue brouiller par mes larmes, son visage s'adoucit et il me prend dans ses bras, il m'embrasse sur le front et se rhabille, avant de partir sans un mot. Je me lève en fermant la porte à clé, je n'ai pas envie de dormir, mais je n'ai n'y envie de rester ici.

Je m'assois donc sur le canapé en sortant un livre que je fini, un peu trop vite...

Vers seize heures, quelqu'un sonne à la maison, je regarde dans le judas, c'est Alex.

Je me rend compte que je ne suis toujours pas habiller, je prends un peignoir et j'ouvre la porte, il me sourit, mais je n'ai pas vraiment le moral pour faire ça.

- Tu vas bien ? demande-t-il.

- Oui, dis-je d'une voie rauque qui me trahi.

Il fronce les sourcils et regarde mon coup, il doit surement voir les suçons que Ty m'a fait...

- Andréa ! s'écrit-il, tu l'as laisser te toucher !

- Non...

Il me regarde dans les yeux, je n'en peux plus, je me jette dans ses bras en commençant à sangloter. Il rentre dans ma maison, ferme la porte et va s'assoir sur mon canapé avec moi, toujours dans ses bras.

Je m'assois sur ses jambes en posant ma tête sur son torse et commence à lui raconter ce qu'il c'est passer, il me caresse doucement les cheveux et m'embrasse à quelques moments le front.

- Le plus important, dit-il, c'est que tu as réussit à lui dire non.

J'essuie mes larmes en le regardant dans les yeux.

- Et toi ? demandé-je, tu l'as déjà fais ?

Il détourne le regard, en rougissant.

- Andréa, c'est... privé.

Je baisse la tête, et me pinçant les lèvres, il a raison, mais s'il me répond cela, ça veux peut-être dire qu'il l'a déjà fait.

Il m'embrasse sur le front et commence à me caresser doucement les cheveux, j'ai envie de m'endormir, mais il ne faut pas, j'ai désobéis toutes les règles... enfin presque, mais je sais qu'on va me tuer...

Trente minutes plus tard, il s'en va car, pour lui, il commence à faire tard.

Quand la porte se referme, je cours dans ma cuisine le plus vite possible pour me faire une tonne de café, je m'assois devant la télé en les buvant tous, un par un.

Vers minuit, la télé s'éteint, et je me rend compte que mes parents ne sont toujours pas rentré, j'attrape le téléphone et appel mon père, il ne répond pas.

Sans lâcher le téléphone, je regarde autour de moi, il y a quelque chose qui cloche.

Andréa, surtout ne panique pas...

Mon Dieu ! Andréa ! court ! il arrive !

Mes cheveux se dressent sur ma tête quand je vois un gros chien blanc rentré dans le salon, il grogne en montrant les crocs, je me mets à trembler de tous mes membres. Il fait un pas vers moi, je prend panique et je cour vers les escaliers.