Chapitre 11

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Song~ Happier/Olivia rodrigo

Tw :viol

/Flashback/

Je rentres de l'école le dos voûté, les cheveux en bataille.
Quand je passe la porte en chêne de la maison, le silence.
Je profite d'être seule pour courir à l'étage et prendre une douche. Je me réfugie dans la salle de bain. Me dépêche d'enlever mon sac, mon blouson, mes vêtements et mes baskets pour me glisser rapidement à l'intérieur de la cabine de douche. Je fais couler l'eau bouillante sur mon corps gelé. Je me lave en vitesse puis sort enfiler le maximum de couche de vêtements possible j'espère que ça marchera cette fois.
Une fois fait, je sors de la salle d'eau et pars récupérer quelque chose pour manger ce soir dans la cuisine.
Un verre d'eau et des tomates cerises feront l'affaire.
Je remonte puis m'enferme dans mon placard.
Et j'attend.
Je m'imagine toute sorte de scénario joyeux. Des scénarios me permettant d'échapper à la réalité et d'oublier le temps qui passe.
Une heure
Deux heure
Trois heure
Quatre heure
Claquement de porte.
Je l'entends monter les marches.
Démarche approximative.
Faites qu'il ne vienne pas. S'il vous plaît.

-Ma princesse !

Il ouvre la porte de ma chambre.
Mon pire cauchemar est de retour.
Je ferme les yeux espérant que ça ne soit qu'un mauvais rêve et que je vais me réveiller.

-Me dit pas que tu es encore dans ce maudit placard ?!

Il ouvre la porte de celui ci à la volée, décale les quelques vêtements qui me dissimulait de sa vue.
Son regard me tétanise. Ses pupilles dilatées me regarde avec un désir pervers mélanger à de la contrariété.

-Princesse, arrête de te cacher.

Il se penche brusquement au dessus de moi et attrape ma main. Il me force à sortir, me porte et m'asseoi brutalement sur mon bureau.

Il enfouit sa main dans mes cheveux et me les tire avec brutalité pour lui laisser libre accès a mon cou qu'il ne tarde pas a recouvrir de ces baiser sec et sans pureté, me faisant frémir de dégout.

Il me dégoute.

-Tu sens bon ma princesse.

Il enlève mon premier pull, puis le deuxième. S'attaque à mon premier teeshirt, ainsi que le second et mon débardeur.

Il me dégoute.

Par la suite il enlève mon legging et mes chaussettes crocodile.

Il ne me restait plus qu'un mini short et ma culotte sur mon corps sous alimentée
Aucune larme ne coule sur mon visage.
Aucun son ne sort de ma bouche.
J'ai l'habitude.
Je ne me débat pas

Il arrache le peu de tissu qu'il me reste puis me plaque plus fermement sur le bureau. Il fini par me pénétrer avec brutalité et agressivité.

Il me dégoute.

J'avais comme l'impression qu'il déchirait mon corps, mon cœur et mon âme.

Il prenait du plaisir sur une enfant.
Il me détruisait.
Il me violais.

Quand il eu fini de m'utiliser il se laissa tomber sur sur moi quelques secondes puis reparti comme si il ne venait pas de commettre un acte inhumain.
Comme si il ne venait pas de traumatiser , une fois de plus, une fille d'à peine neuf ans.
Comme si il ne venait pas de me violer.

Je ramasse mes habits étaler sur le sol, les remets sur mon corps tremblotant et me glisse dans mon lit.

Il me dégoute.

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