Chapitre 14

126 2 0
                                    

Ça fait 5 bonne minute... Kyliane ne reviens pas et le garde du corps toujours au téléphone.

Et si j'en profitais? Non faut que je me retire cette idée de la tête, si il me retrouve je ne sais pas ce qu'il feras de moi. Mais sa vaut la plaine d'essayer... je vois au loin Kyliane arriver, il est loin de moi j'ai une minime chance.

Action ! Je saute de mon tabouret et lâche ma glace, je cours a toutes allures jusque dans les rues. Kyliane et le garde me courent après et me crient dessus mais visiblement ils ne courent pas assez vite pour me rattraper. Je reconnais je sais qu'un très bon ami voudras bien m'accueillir, je continue à courir et je ne sens même plus Kyliane est derrière moi, c'est sûrement l'adrénaline.
J'arrive à l'épicier préféré de mon ami et je rentre à l'intérieur ne sachant pas si ils sont après moi.

- Alessio cache moi pitié, ils me veulent de mal ils vont finir par me tuer pitié

- Du calme Clara, je vais te cacher et tu m'expliqueras tout. Va dans les cuisines

Je me dirige dans les cuisines et me planque dans un buffet pour être sûre, je ne veut pas qu'il me retrouve.

J'entends des cris et des bruits sourd, les cuisinier parlent entre-eux et quelqu'un saccage l'épicerie. Soudain la porte de la cuisine s'ouvre et je referme aussitôt le buffet où je suis et je l'ai aperçus en colère avec la veine qui ressort du front.

- Où est elle ? Si vous ne me répondez pas je vous tue tous!

Alessio vient s'interposer entre les cuisiniers et Kyliane en signe de paix

- Du calme, vous parlez de la jeune fille affolé qui vous prend pour un tueur ?

- Oui je parle de cette fille là

- Je l'ai fait sortir par derrière, je vous ai dit par où elle sait échapper maintenant laisser mes cuisiniers tranquilles s'il vous plaît.

- Et après ?

- vers les quartiers nord est je crois de ce qu'elle m'a dit elle y connais quelqu'un.

Kyliane et le garde se contente de partir en furi moi versent mes larmes. Alessio vient m'ouvrir il a l'air inquiet pour moi.

- Viens on va en haut à mon appart, je ne sais pas comment tu as eu ces types sur le dos mais il va falloir m'expliquer.

On monte dans son appart et il me donne de quoi prendre une douche, c'est un ami d'enfance on se connaît depuis qu'on sait marcher et nos mères étaient meilleures amies.

Une fois pris une bonne douche je reviens au salon buvant mon chocolat chaud qu'il fait maison depuis qu'on est ado. Je lui explique tout ce que Enzo m'a fait, Célya qui étais ok avec ça, comment il me traitait... je lui ai tout dit. Il avait l'air non surpris à vrais-dire.

- Célya m'avait demandé que si tu passais chez moi je devais appeler ce certains Enzo...

- Et tu vas le faire ?

- Oui une récompense est sur ta tête depuis que tu es chez lui 50 000 € ma vieille

- Mais sérieux tu vas m'échanger contre de l'argent comme ça ?

- Mh oui, sauf si ...

- Sauf si quoi ?

-Tu deviens ma chienne
Choqué par sa réponse je cours m'enfermer dans sa salle de bain, je m'assois sur le sol et entouré mes jambes de mes bras, une enfant qui pleure comme une conne. Sauf que moi je suis plus une enfant après tout ce qu'il m'ont fait subir, je ne suis plus rien. Juste un objet sexuelle sans émotions ou en tout cas qui n'a pas le droit d'avoir des émotions autre que la soumission.
J'entends Alessio tambouriner sur la porte de la salle de bain me demandant de sortir.

Je me lève doucement et m'approche du lavabo, je suis toujours aussi belle physiquement mais ce vide dans mon regard ... je me passe un coup d'eau sur le visage et sort de la salle de bain pour tomber nez à nez sur Enzo.

Je me fige sur place et les larmes perle déjà mes joues. Il le remarque et souris à Kyliane, il me prend par la main délicatement et je le suis jusqu'au fauteuil. Il s'installe dessus et m'impose de me mettre à genoux devant lui, je baisse la tête et je recommence à pleurer en silence. Il relève ma tête et sèche mes larmes avec son pouces

- Tu as déjà oublié la règle numéro 3 princesse, tu en paieras le prix. Lève toi

Je me lève tout doucement en fesant attention de ne pas le regarder dans les yeux.

Il se lève à son tour et me prend par la main, il remercie Alessio et nous sortons pour rentrer dans sa limousine et m'emmener droit aux enfers. Il m'ordonne de me déshabiller et je ne me fais pas prier je n'ai pas envie d'aggraver ma situation. Une fois déshabiller on passe le reste du trajets avec un grand silence, seul mes sanglots ce font entendre.

Arrivée chez lui il m'ordonne de retourner dans ma chambre et de ne pas en sortir.
J'y attend un long moment en me demandant ce qu'il va bien pouvoir me faire... j'aurais peut-être dû accepter la proposition de Alessio...au moins je ne serais pas entre ses mains à attendre ma punition.

Après ce qui me semble une bonne heure il rentre calmement dans la chambre il a l'air beaucoup plus serein.

- Viens

Il fait demi tour et je le suis sans un mot, on arrive devant la chambre ou j'écope mes punitions depuis que je suis arrivé ici.

Il s'avance vers le banc à fessée et me demande de m'installer dessus, j'hésite mais son regard noir me dissuade aussitôt de désobéir. Je m'installe et je prie pour que ça finisse vite

Une fois installée je suis dos à lui et je l'entend fouiller dans l'armoire. Je sens ses pas se rapprocher de moi

Clac clac clac
Il me fouette, les coups s'enchaîne et c'est extrêmement douloureux il n'y va pas de main morte. Il continue je suis en pleure à le supplier d'arrêter mais ça fait 10 bonne minute qu'il continue de me fouetter mes fesse me font tellement mal que quand il s'arrête je commence a voir flou et ça me brûle

Il prend par la nuque et m'amène près de La Croix où il m'attache, il recommence mais cette fois ci il me fouette les zones sensible. Je hurle de douleur tellement qu'il y va fort j'ai l'impression que ça ne va jamais ce finir. Il part changé d'objet et prendre la canne ainsi que le bâillon boule qu'il me met en bouche après quelques minutes de débats

- Tu te tais et tu subis ta punition, je t'avais prévenu que les conséquences serait lourdes si tu essayais de t'échapper.

Et il repris le chemin de mon corps avec des coups de canne ça dure tellement longtemps sur j'ai l'impression de partir quand je commence à voir blanc et flou... je m'évanouis presque avant qu'il ne me gifle violemment ce qui me fait revenir à la réalité.
Je vois Kyliane rentré dans la pièce et ils discutent à peine ensemble à voix basse, je n'ai pas entendu ce qu'ils disent mais ça n'a pas l'air bon pour moi.

Kyliane part juste derrière une porte qu'il y a dans cette maudîtes pièces, il laisse la porte ouverte mais je n'arrive pas a voir ce qu'il fait je sens juste qu'il fait extrêmement chaud d'un coup.
Enzo s'approche de moi et me détache de La Croix il me soutient jusqu'une table en métal ou il me couche sur le ventre et m'attache les jambes et les bras au pied de la table.

Il me met un bandeaux sur les yeux et je commence à paniquer et gigoter dans tout les sens, j'essaie même de hurler mais impossible. Je les entends tout les deux près de moi et je sens 2 mains ferme se poser sur mon bassin et le tenir fermement, même trop fermement.

La personne y met toute sa force d'un coup et je sens une énorme brûlure près de mes fesses, on me brule avec un briquet ou un lance flamme je ne sais pas mais là je hurle et me débats les suppliant d'arrêter. C'est du fer... je sens c'est du métal qu'il ont fait chauffer, mais pourquoi ? Juste pour me faire souffrir sûrement.

J'ai tellement mal que j'ai n'ai pas le temps de rien dire que je m'évanouis.

Enchanté Où les histoires vivent. Découvrez maintenant