Chapitre 6

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Je me réveille doucement et sans douleur. Je ne pense pas avoir été droguee, j'étais juste épuisée.
J'ouvre les yeux et je suis sur un matelas au sol avec un cousin et un plaid, il ne fait ni chaud ni froid mais j'ai la forte impression d'être dans une cave. Il y a des barreaux et en face de ma cellule, il y en a une autre. J'aperçois quelqu'un couchée sur le matelas.

- Pssst ?? Psst ? Y'a quelqu'un ?

Et là la porte au fond du couloir s'ouvre, je décide de rester assise sur mon matelas, la personne s'approche de ma cellule et vient l'ouvrir.

- Levez-vous Mademoiselle, Monsieur Vinci vous attends dans son bureaux.

Je me lève et le suis, je ne veut aucunement faire d'histoire je suis déjà pas dans une bonne position. Une fois en haut des escaliers il m'attrape par le bras avec une poigne ferme ne me laissant aucun moyen de m'échapper. L'étage est très luxueux tout es noir et blanc, c'est un peu triste mais élégant.

On traverse le salon et la cuisine pour arriver à une grande porte en verre. L'homme qui me tiens toque à la porte et Enzo nous invite à entrer.

- Bonjour Clara.
Il est là devant moi adossé sur sa chaise de bureaux et sourire narquois au lèvres. Il fait signe à son homme de main de nous laisser seul et il me propose de m'asseoir sur la chaise devant son bureau mais je refuse.

-Je ne compte pas m'asseoir tant que vous ne m'aurez pas dit pourquoi je suis là.

Il se contente de rigoler

-Très bien reste debout, tu es là pour devenir ma soumise. Tu dev....

- Pardon ?!?! Mais vous croyez quoi là il en est or de question espèce de psychopathe. Et la je ne sais pas par quel force je passe au dessus du bureaux pour lui foutre une gifle monumentale.

Il me regarde noir et devient rouge à l'endroit où je l'ai giflé. Je cours vers la porte pour sortir mais au moment où je tourne la poignée rien ne se passe, c'est fermés à clé. Je sens une main puissante m'attraper par les cheveux tandis que moi je me débat. Il n'a aucune difficulté à me maintenir, il ouvre la porte et me traîne au bout du couloir devant une porte rouge. Il ouvre et la pièce me clou le bec, je suis comme figé de peur, je ne bouge plus. Lui en profite pour me traîner au milieu de la pièce et me laisse là. Il part chercher quelques choses dans un tiroir et moi j'en profite pour me relever et sortir mais sans succès, il savait ce que j'allais faire. Il me rattrape sans douceur par les cheveux et me maintient au sol, il m'enfile ses bracelet au deux poignet et me relève par les cheveux, je suis le mouvement histoire d'éviter d'avoir la calvitie.

Il attrape des chênes qui sont au plafond et m'attache les deux poignet à celle ci.
Je me débats et je crie mais rien n'y fait il reste là devant moi à me contempler. Il s'approche de moi avec une espèce de boule et il me la met en bouche, je ne peut ni crier ni parler.

-Arrête de bouger, ça ne sert à rien tu sera punie dans tout les cas.

Je gigote encore plus.

- Comme tu m'a foutu une gifle et que j'ai le joue rouge, y'a punition sera des coups de badines jusqu'à ce que t'es fesses soit bleue et pas d'une autre couleur.

Je le regarde dans les yeux et je vois qu'il est sérieux, il se retourne et va chercher une badine sur une étagère puis reviens vers moi. Mes larmes commence à couler au moment où il baisse mon pantalon ainsi que mon tanga.

-Ho mais ne pleure pas princesse ta punition n'a même pas commencer.

Mes larmes redouble au premier coup, les coups s'enchaîne et je suis à bout de souffle, je ne suis même plus présente j'ai laissé mon corps, la douleur est inimaginable et elle ne s'arrête pas. Lui ne s'arrête pas, il continue et va tenir ce qu'il m'a dit et ça risque d'être très long, j'essaie de m'excuser mais sans succès avec la boule. Je commence à hurler malgré la boule et je sens du liquide couler sur mes fesses pendant qu'il enchaîne les coups. Au bout d'un temps j'essaie encore de m'excuser et il s'arrête.
Il reviens face à moi et m'enlève la boule et me redressant pour que je le regarde dans les yeux.

- Tu disais?

Je le regarde et je réfléchis avant de lui répondre, je veut juste que ça s'arrête et je sui prête à tout.

- Je suis désolée de vous avoir giflé.
Tandis que mes larmes coule il m'observe, malgré qu'il ai arrêter de me frapper j'ai toujours aussi mal.

- C'est déjà ça, mais tu va le formuler correctement, tu demande que je t'excuse et à la fin de ta phrase c'est maître. Je t'écoute

- Veuillez m'excuser de vous avoir giflé maître.

- Bien Clara ta punition s'arrête là, je vais te détacher mais tu n'a pas intérêt à te débattre c'est clair?

- Oui... je sanglote toujours et je suis si impuissante face à lui.
Suite à ma réponse je reçois une gifle monumentale. Et je me remet à pleurer comme une enfant.

- Tu as déjà oublié ce que je t'ai dit ?

- Non maître je n'y avais juste plus pensé.

- Et bien tu auras tout le temps d'y penser dans la cave. Moi qui pensait que ça allait te suffire.

Il me détache sans douceur et me porte comme une princesse jusqu'à la cave, une fois dans ma cellule il me couche sur le matelas et m'attache les mains ensemble pour ensuite me remettre la boule qui était toujours autour de mon cou. Il me couvre et s'en va me laissant comme ça, dans la douleur et la peur. Mais malgré sa je m'endors assez vite étant donné je suis épuisée de ce qu'il m'a fait subir.

Enchanté Où les histoires vivent. Découvrez maintenant