Chapitre 17 | Carte sur table

32 11 23
                                    




♣️







Élyna






Les deux mains croisées sur ma poitrine, assise seule dans cette salle je ne cesse de me convaincre que je n'y suis pour rien dans les événements de la soirée dernière.

Depuis un certain temps, les événements me dépasse complètement: la nuit dernière, mon terrible cauchemar, mon arrestation... Chaque fois que je ferme les yeux la voix de Rosa résonne encore dans mes oreilles comme un tonnerre:

Ne MONTE PAS ÉLYNA !
ATTENDEZ !
QUI ÊTES-VOUS ! OÙ L'AMENIEZ- VOUS ? ...

les hurlements de Rosa n'ont pas quitter mon esprit, je me demande comment vont-elles?

J'espère qu'elle et Cassie sont en sécurité, et que je n'ai pas interrompu leurs tranquillité en espace d'une nuit.
Je suis dans une pièce totalement éclairé, assis sur une chaise en métal. Ça va faire deux bonnes heures que je suis resté seule, sans surveillance normalement c'est celui qu'on appel Gavin qui passe son énergie à me poser des questions et l'autre type qui semble un peu moins intimidant, avec ses lunettes de clarket qui me surveille.

On m'a interrogé par ce Gavin , depuis je ne sais quand, j'ai lui est tout dit, tout sauf la vérité.

Qu'aurais-je bien pu lui dire? M'aurait-il seulement cru ?
Non mon histoire est à dormir débout, il ne pas question que je fasse des déclarations qui pourront m'envoyer en prison.
Alors je garde mon calme, j'essaye de réfléchir de penser à comment garder ma langue bien fermée sans me rendre coupable pour au tant.

Il ne me gardera pas ici pour longtemps je le sais ou disons je l'espère. Au moins  je suis certaine que je ne suis pas dans un poste de police, donc j'essaye de me dire que je n'irai peut-être pas en prison...
Mais au moins c'est sûr que ce drame m'aura fait perdre mon travail.
J'ai l'impression qu'une hombres malveillante plane sur moi depuis cette soirée.

Claquement de porte.

Il réapparaît ce fameux Gavin, avec un café dans le main et un sachet de par l'odeur je parie que c'est un sandwich. Il le pause sur la table en face de moi, mes yeux ne l'on pas quitter cet homme m'a l'air vraiment dangereux le faire confiance serait une succession des bêtises.

— tu es entrain de te dire à quoi je joue en t'apportant de quoi manger ?

Ça question ne m'a pas beaucoup surpris avec cet air méfiant que j'ai sur le visage ça ne doit pas être très difficile à comprendre.

— mange! M'ordonne t'il en m'indiquant le repas

— je n'ai pas faim, merci. Curieusement c'est vrai, pensée à ma famille m'a arraché tout appétit, je sais qu'il y'a cet homme qui m'a mis dans ce pétrin quelques part dehors et franchement je suis très angoissé de ne pas être là, j'ai un mauvais pressentiment.

— si tu me parlais de tes maux, ceux qui te fait hésiter à te nourrir, je pourrais peut-être t'aider.

Il l'a dit, si simplement qu'on croirait on serait des bons amis. Mes yeux se sont replacés sur sa face, impassible, dur et endurci par des traits sévères, sa présence me met vraiment très mal à l'aise. Quelque part dans mon esprit je sais qu'il peut me faire craquer s'il s'y mettait sérieusement

𝗦𝗔𝗡𝗦 𝗗𝗘𝗧𝗢𝗨𝗥  | 𝙼𝚊𝚏𝚒𝚊Où les histoires vivent. Découvrez maintenant