Hello tout le monde, ce chapitre contient une mention de tentative de suicide, cela est délimité par ce sigle' *' et fini par celui ci '***' , donc ce qui veulent la sauter vous le pouvez en swippant tout simplement jusqu'au deuxième sigle, j'espère quand même que ce chapitre vous plaira, Gentianax.
Ellipse 2 semaines :
Pdv Alexander :
Cela faisait 2 semaines maintenant que Naoki était dans le coma, pareil pour Akira et cela faisait deux semaines que je me battait avec Alex, enfin avec les émotions qu'il ressentait, je crois que je n'ai jamais eu autant envie de mourir que durant ce dernier laps de temps, je n'en pouvait plus, j'avais de plus en plus de mal à le supporter, ces émotions qu'il ressentait ce mélangeait aux miennes, je ne sais même plus ce que JE ressens et ce qu'IL ressent, ne plus savoir faire la distinction est horrible.
Je détestais ressentir des émotions, je n'en ai jamais eu l'habitude et je ne voulais pas commencer à l'avoir, j'en suis venu à un point où je devenais fou, je voulais faire taire ces ressentit alors j'ai fini par vouloir commettre l'irréparable.
*
J'étais assis sur le lit, continuant à lutter, quand j'ai fini par relever les yeux et tomber sur une chose qui pouvait enfin me libérer : le flingue d'Alex.
Je me suis levé et diriger vers son arme, une fois en main, je suis allé verrouiller la chambre à clé, j'ai fini par me tourner instinctivement vers la baie vitré, les souvenirs revenaient, ceux quand je tenais Naoki dans mes bras et qu'on regardait ensemble le paysage prendre une lueur bleuté foncé, ceux où on s'endormait dans le petit canapé dans les bras l'un de l'autre, j'étais submergé par tous ces souvenirs et les émotions devenaient de plus en plus fortes, j'essayais de les réprimer comme d'habitude mais elles étaient plus forte que moi, mes pas m'ont machinalement menés vers le petit canapé, je me suis d'abord assis dessus mais j'ai fini par m'allonger, j'avais posé mes mains sur mon torse l'arme toujours dans celle-ci, les souvenirs continuaient de déferler mais j'allais y mettre un terme, j'ai approché l'arme de mon cœur, mes mains ne tremblaient pas, j'allais appuyer sur la gâchette mais je n'ai pas pu, j'ai fini par tirer devant moi, dans le mur, avant de reposer l'arme sur mon cœur, je savais très bien que le coup feu allait faire venir les autres je devais donc vite tirer cette balle, la gâchette commençait à être actionné quand Alex a réussi à faire surface :
Alex – Alexander, je sais que tu veux mourir, mais ce n'est pas une solution
Alexander – J'en ai marre...je suis fatigué de tout ressentir à ta place
Alex – Tu n'es pas obligé de mourir tu sais, tu peux apprendre à vivre comme nous
Alexander – Pourquoi tu m'accepterais ?
Alex – Parce que tu restes une partie de moi que je le veuille ou non, je reste celui qui t'a créé
Alexander – Alors prend tes responsabilité, laisse-moi mourir en paix et dignement
Alex – C'est ce que tu appels mourir dignement ? Si tu veux mourir dignement, laisse Naoki me faire renaitre et accepte de mourir
Alexander – On meurt dignement quand on choisit comment mourir, j'ai choisi comment je voulais mourir, tu ne m'en empêcheras pas
Alex – Peut-être pas moi mais eux si
Je pouvais en effet entendre les voix des autres derrière la parte mais je m'en foutais, j'avais pris ma décision et je comptais la suivre
Pdv Sean :
On était en train de faire l'inventaire de nos armes dans notre chambre avec mon frère quand on a entendu un coup de feu venir de la chambre d'Alexander, j'ai regardé mon frère pour savoir si j'avais bien entendu et vu qu'il me regardait aussi, je me doutais que l'on avait entendu la même chose, je me suis précipité hors de la chambre suivie de près par Eli, j'ai toqué mais aucune réponse, j'ai essayé d'ouvrir mais impossible c'était fermé à clé, j'allais tenté de l'enfoncer quand Eliott est arrivé suivie de Yuna et Marco :
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The Mobster and The Rich boy 2
ActionAprès les découvertes d'Akira, Eliott, Naoki et Aela sur leur passé l'ambiance a changé au cartel, de nouvelle relations et amitiés se sont nouées bien qu'elles soient encore fragiles. Une menace se fait cependant plus pesante et l'heure n'est pas...