Je vivais sous notre idyle.Mais tout était trop facile.
Cette sonnerie,
Ce numéro que j'avais tatoué dans mon esprit.
Elle est revenue.
Les larmes me montent aux yeux,
La panique prends le contrôle de mon âme.
N'arrêtera-t-elle donc jamais de me blesser ?
Pourquoi est-ce que j'ai envie de pleurer ?
N'avais-je donc pas tourner la page ?
Tout cela n'était-il donc qu'un mirrage ?
Mingi m'approche, il parlait tellement sereinement.
"-Hey, je croit que quelqu'un t'appelles, le téléphone sonne depuis-"
Il m'avait vu,
Il m'a entendu.
Je suis toujours aussi faible.
Je m'en veux de lui montrer cela.
Et avant même que je ne dises quoi que ce soit il se jeta sur moi.
Serrant ses bras autour de moi.
"-C'est elle n'est-ce pas ? me demanda-t-il.
-Oui...
-Je savais que ce jour arriverai mais je ne pensais pas que ce serait si vite.
-Comment ça ? questionnais-je.
-Ah la la mon petit Yunho, quand on quitte quelqu'un de si bien que toi il est difficile de ne pas revenir, surtout avec le déchet qu'elle s'est dégoté, répondit-il en me tapotant le dos.
-Mais qu'est-ce que tu racontes toi encore, dis-je en rigolant.
-Bah c'est la vérité, dit-il en me laissant partir pour voir son magnifique sourire.
-Tss, mais oui c'est ça, dis-je en roulant des yeux.
-Tu me crois pas ? fit-il faussement outré.
-Bah ce qui compte c'est que toi t'y crois, dis-je en souriant.
-Bien sûr que j'y crois, mais pour l'instant il faut que tu fasse un choix.
-Mh c'est vrai... je crois que je vais décrocher.
-D'accord, je vais te laisser alors, dit-il en commençant à sortir de ma chambre.
-Tu vas où comme ça là, toi ?
-Bah je te laisses de l'intimité, pourquoi ? me dit-il en arquant un sourcil.
-Donc tu veux pas écouter mon plan ? dis-je d'un air offusqué.
-C'est que t'as un plan en plus ? me demanda-t-il un peu confus.
-Oh que oui et il est machiavélique, fis-je en lui lançant un regard complice.
-Oh, je vois où tu veux en venir, dit-il en me faisant un clin d'œil.
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|·𝒫𝓇ℯ𝒸𝒾ℴ𝓊𝓈·| ʸᵘⁿᵍⁱ
Fanfic𝑈𝑛 𝑎𝑚𝑜𝑢𝑟 𝑑𝑜𝑢𝑙𝑜𝑢𝑟𝑒𝑢𝑥 𝑒𝑠𝑡 𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑙𝑒 à 𝑝𝑎𝑛𝑠𝑒𝑟, 𝐿𝑒𝑠 𝑏𝑙𝑒𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑟𝑓𝑜𝑖𝑠 𝑖𝑛𝑛𝑎𝑡𝑒𝑛𝑖𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠, 𝐿𝑒𝑠 𝑙𝑎𝑟𝑚𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑛𝑎𝑟𝑒𝑡𝑎𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑛𝑜𝑢𝑠 𝑛𝑜𝑖𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑎𝑛𝑠...