6 : Maman..

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Une voix douce résonna dans ma tête. Elle était si apaisante, agréable. Puis je la vus. La personne pour qui j'ai déversé des litres et des litres d'eau, rêvé, celle que j'ai aimé, écouté, obeit. Cette fille qui m'a élevé, adoré, câliné, endormi, porté pendant 9 mois, créé..

" Maman ? " Ai je gémi.

" Oui je suis là" a t elle dit si tendrement.

Je couru vers sa direction pour pouvoir l'enlacer dans mes bras. Mais plus je m'avançais plus la distance entre nous deux était grande.

" Maman ? " Ai je demandé

Pas de réponse. Elle s'écroula au sol. Un lac de sang se formait. Sa poitrine en était la source. Derrière le père des deux personnes que je détestais le plus se tenait avec une arme à feu. Il se mit à rigoler. Mes yeux se remplissaient de larme. Ma colère était monstrueuse. Ma mère avait été assassiné.

" Non !! " Hurlais je.

J'étais là assise sur un lit à pleurer. Ce n'était qu'un mauvais cauchemar. Celui que je faisais toutes les nuits jusqu'à mes 13 ans. Il me rendait malade, me brisait encore plus que je l'étais déjà. Je le hais tout comme cette famille de meurtriers. Ils ont détruit une partie de moi. Et ils n'avaient décidément pas fini. Les Kaulitz n'ont pas de coeur. J'aime peut être voir les gens morts, souffrir, mais il y a quand même une petite partie de moi qui n'est pas comme ça.

Ces draps de lit sentaient bon, mais ce n'était pas la même odeur que chez moi ou Zoé. Je levis la tête pour examiner la chambre dans la quelle je me trouvais. Elle était immense, et belle. Mais inconnu. La luminosité était faible ; les volets empêchaient l'inverse. Seule un petit coin était éclairé. Je suivi cette ligne avec mes yeux et j'arriva en dessous de la porte. Mon premier réflexe a été de me diriger vers elle. J'agrippa la poignet et la descendue.

" Où va tu comme ça ? " A grogné Tom.

Je me retournit vers lui. Je n'avais même pas remarqué sa présence. Il était torce nue allongé sur le lit me regardant avec son regard hypnotisant prêt à bondir pour m'attraper au cas j'aurais l'idée de m'enfuir. " Uhm..." Lâchais-je. Mon envie de courir loin de lui était plus forte que moi. Je fis un conte à rebours dans ma tête. 3....2...

" Viens là " m'ordonna t'il en faisant un coup de tête désignant son lit dans le qu'elle j'étais allongée il y a quelque minute.

Je ne l'ai pas fais. Jamais je l'obierai ; je n'ai pas à le faire. Cet homme me désespère ; il croyait vraiment que j'allais venir dans ses bras pour pouvoir faire tous ce qu'il veut avec moi comme les autres prostituées. Je préfère qu'il me tue à ça.

...1 go ! Je couru le plus vite possible. J'étais maintenant dans un couloir. Des bruits de pas s'intensifiaient derrière moi. J'y jettit un coup d'œil et il me poursuivait bien.

Je m'écroula sur quelqu'un, je ne l'avais pas vu. J'étais bien trop occupée à regarder Tom. Je levis la tête. Bill et moi avons eu un contact visuel. Il me poussa contre Tom comme si j'étais une simple balle.
Je sentie ses muscles, son souffle sur moi. C'était comme une tornade prête à m'engloutir. Je n'ai pas eu le courage de le regarder dans les yeux. J'espérais juste qu'il ne me fasse pas de mal.

Tom posa sa main sur ma poitrine. Je la pris et la jetta or de moi. Mais il recommença.

" Enlève ta main ! " Lui ai je crié agacé par son comportement.

" Qu'a tu dit chérie ? " A t'il demandé énervé même si il avait très bien entendu.

" Enlève te main connard ! " Répètais-je en lui donnant un coup dans les côtes avec mon coude.

À ma grande surprise il m'écouta. Bien sûr ce n'était pas pour me faire plaisir mais pour me plaquer contre le mur.

" Ne me parle pas comme ça putain ! " M'a t'il crié dessus.

" Sais tu qui je suis ! De quoi je suis capable ! " Rajouta t'il.

Il me gifla le visage. Une grosse marque rouge se dessinait sur ma joue.

" Oui, je sais ! Tu n'es qu'un salop pervers qui joue avec les filles comme des jouets ! " Lui crachais je.

Tom attrapa un petit couteau et le planta brusquement dans mon bras droit. J' hurla de douleur voyant le poignard enfoncé dans ma chair. Du sang coulait, tâchait le parquet. Je serai tombée par terre si Tom ne me tenait pas. Il se pencha et me chuchota : " maintenant comporte toi comme une bonne fille ". Puis il parta enfin en direction de la cuisine. J'étais seule dans un couloir à attendre de me remettre de tous se qu'il venait de se passer.

Je regardais mon bras ne savant pas quoi faire de cette blessure en étant dans cet état. Une main féminine le toucha délicatement. Je reconnu ces ongles ; ceux de Zoé.

Pdv Zoé :

Ce bras était en piteux état. Le couteau tenait encore dans la chair de ma cousine. Tous le monde aurai pu savoir que Tom lui avait fais ça. Quand il est revenu dans la cuisine ses mains dégoulinaient d'un liquide rouge. Nous avons aussi entendu des cris, qui appartenait à Hilona. Je me levais de ma chaise pour l'aider mais Bill m'attrapait la main pour que je n'y aille pas. Ce que j'ai fais ; je ne voulais pas être blessée.

" Allons à l'hôpital. " Ai je ordonné en me levant.

Elle accepta. Je récupèra les clés de voiture de Bill sans qu'il le remarque. Je mis le contacte et commença à rouler. Ce véhicule est vraiment agréable à conduire.

Hilona devenait de plus en plus pâle ; elle perdait beaucoup trop de sang. Je stressais pour elle.

Nous arrivâmes enfin. Je la pris sur mes épaules et la transporta à l'intérieur. Des infirmières la prire en charge. Je m'avança jusqu'à un bureau nommé " ACCUEIL ".

" Bonjour mon amie est en se moment hospitalisé puis je l'attendre quelque part ? "Ai je demandé gentiment à une dame.

" Oui bien sûr dans la salle d'attente à votre gauche " m'a t'elle répondu souriante.

Je me dirigeais vers cet endroit, la boule au ventre espérant qu' Hilona soit guéri dans peut de temps.

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Bonjour ! ( ou bonsoir ! )
Je voulais juste dire que ça me prend du temps d'écrire donc c'est normal si ça prend du temps à sortir.

En tous cas j'espère que mon histoire vous plaît. 😁 J'y prends du plaisir à l'écrire.

Il peu y avoir beaucoup d'histoires de se genre ( où les Tokio hotel sont horribles) mais ne vous faites pas avoir par ça, ce sont des très bonnes personnes ( je ne suis pas là seule à le savoir). 😄

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Pire que l'enfer..Où les histoires vivent. Découvrez maintenant