𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟕

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Pdv Jennifer

Trois jours plus tard.

J'ai tenté de le chercher mais il me reste introuvable.

Cette nuit là, je l'ai cherché encore et encore. Aucune trace de lui. Depuis ce temps là, je peine à sourire et à manger correctement.

Cajou et Meris ont tant espérer de trouver une recette pour le faire revenir. Elles ont étés jusqu'au rituel ! Pourtant rien, il est nulle part.

En ce moment, je suis assise sur une roche à l'extérieur tout en contemplant le vide. J'entends tout à coup les pas de quelqu'un et me retourne immédiatement.

— Jennie...

— Oh, salut Meris.

Elle s'asseoit à mes côtés. Nous restons quelques secondes assise là, mais elle ouvre finalement la bouche :
— Tu sais, Cajou et moi avons mis des photos de lui partout dans la citée Gerudo. Tu as vu l'affiche ?

Je fronce les sourcils :
— Euh, non... je ne crois pas...

Elle me l'a tend et mon sourire revient aussitôt en voyant une photo de Link dans son accoutrement ridicule de Gerudo. Je tourne la tête pour rigoler mais Meris m'arrête :
— Mais allez, ris un bon coup ! Qu'est ce que ça peut te faire ?

— C'est vrai ! J'explose de rire, lâchant un cri affreusement laid. Quelques oiseaux d'un arbre s'en allèrent, mais je me fiche d'eux. Je frappe mes cuisses et mon sourire ne veut pas partir de mon visage. Meris embarque. Ensemble, nous rigolons comme deux folles jusqu'à ce que tout se corse.

×××

— Allez Jennie, monte !

Maintenant à la citée, je réalise à quel point elle est grande. Seulement, je n'ai pas pu en profiter car je suis ici pour essayer de chevaucher un morse de sable. Ces idiots semblent mignons, mais ils sont en fait terrifiants.

Leurs crocs sont si pointus que je suis horrifié à l'idée qu'un d'eux me mordre. Je monte cependant sans problème, car Link est le seul qui apparaît dans mon esprit.

La voix de Meris résonne :
— Allez, fais hop comme les vaches à Elimith !

— Les vaches ?

À vrai dire, j'ai oubliée à quoi elles ressemblaient ni le bruit qu'elles émettent. Je sais juste qu'elles produisent du lait et ça a bon goût.

— Comment tu ne peux pas savoir ce qu'est une vache ? Tu es allée à Elimith non ?

— Oui mais... j'ai un peu oublié à quoi elles ressemblent...

Elle me dévisage et je me sens embarrassée.
— Où as-tu grandi ?

Mon coeur arrête de battre. Je ne veux pas que l'on découvre la vérité à mon sujet. J'invente donc :
— Je suis née à la citée Gerudo. Je n'ai jamais vraiment quitté la citée alors c'est normal que ce soit inconnu pour moi.

Elle soupire :
— C'est triste pour toi, les vaches sont superbes.

Une autre voix s'ajoute :
— Les vaches sont des grosses nulles. Une d'entre elle a bouffée mon chapeau préféré...

— Cajou ! Tout le monde se fiche de ton chapeau, il était moche de toute façon. Je ne comprends pas pourquoi la vache l'a dévoré.

— Qui es-tu pour insulter mon chapeau, Meris ? Tu ne t'en souviens même pas !

Aussitôt, une bagarre pleine d'insultes éclatent entre les deux femmes. Je les écoute au début, mais réalise qu'elles racontent n'importe quoi. J'abandonne et observe devant moi.

Le désert est si vaste et terrifiant : personne ne sait vraiment où il s'arrête, ni ce qu'il se cache dedans. Pourtant, lorsque je vois une tempête de sable se former au loin, je fonce. Je n'ai pas de temps à perdre, je dois sauver Link.

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569 mots

Petit chapitre peu révélant ! On sait juste que Cajou n'aime pas les vaches TT je voulais tout simplement laisser du suspens pour vous ^^

À demain !

Say my name || Link X ReaderOù les histoires vivent. Découvrez maintenant