Sanzu Haruchiyo x reader

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   Je m'appelle T/P T/N et je travaille dans un club comme servante. Depuis environ 3 mois, j'ai l'impression d'être suivis ou encore d'être observer quoi que je fasse. C'est depuis que le propriétaire du club, M. Wilson s'est allié au célèbre gang criminel le Bonten que j'ai l'impression d'être suivis et observer.

On était un vendredi soir et M. Wilson est venu en personne dans la boîte de nuit pour venir me dire quelque chose.

M. Wilson : T/P ! Aujourd'hui tu vas servir des boissons dans un salon VIP. On reçoit des invités du Bonten alors ne fait pas n'importe quoi et obéit leur !

T/P : Oui, Chef !

M. Wilson : De toute façon, je serais avec toi nous devons parler affaires !

T/P : Oui Chef.

Nous sommes allées dans la salle VIP et quelques minutes plus tard neuf personnes sont arrivés.

Trois hommes sortaient du lot. Celui à droite avait des cheveux violets courts et des yeux violets. Il était assez grand et imposant. Celui à gauche lui ressemblait beaucoup. Les mêmes cheveux violets mais les siens sont longs, il était plus petit que celui d'avant. Le dernier et celui au milieu, avait des cheveux roses tombant dans son cou avec une frange qui cachait son front. Il avait des yeux verts émeraudes clairs magnifique. Il avait aux coins de la bouche deux cicatrices. Les deux autres avait des tatouages sur leur cou et il avait tous un costume cravate. Les six autres hommes qui les accompagnaient étaient des gardes du corps. Les trois hommes se sont installés sur le canapé.

Membre du Bonten aux cheveux roses : Alors M. Wilson ? Vous avez tout préparé j'espère ?

M. Wilson : Ne vous inquiétez pas Monsieur Haruchiyo, tout est dans une mallette qui va bientôt arriver...

Je n'ai jamais vu Monsieur Wilson aussi pathétique devant ces trois hommes.

M. Wilson : Vous voulez boire quelque chose ?

Homme aux cheveux violets courts : Oui je veux bien et toi Rindou ?

Rindou : Pareil pour moi Ran. Sanzu on va sûrement attendre pendant longtemps alors vaut mieux boire un truc.

Sanzu : Bonne idée.

Après qu'il m'est dit leur boisson, je partie dans la cuisine pour aller chercher celle-ci. Une fois revenu je leur donnai leur boisson sans un mot. Quand je donnai la boisson à Sanzu, il me prit ma main pour ne pas que je m'en aille.

Sanzu : Wilson, pourquoi une fille aussi belle n'est qu'une simple servante dans ce club pathétique ?

Monsieur Wilson bugua et pendant ce temps Sanzu me fit m'asseoir entre ses jambes.

Moi : Euh monsieur ?

Sanzu : Tu peux m'appeler Sanzu.

Il me chuchota à l'oreille.

Sanzu : Reste ici sinon il y aura de graves conséquences...

Je décidai de rester entre ses jambes car Monsieur Wilson m'avait dit que je devais lui obéir et puis Sanzu m'avait menacé donc fallait mieux l'écouter.

Les quatre hommes étaient en train de discuter sur du bisness de prostitution et certaines fois Sanzu glissait sa main entre mes jambes et à chaque fois qu'il le faisait je frissonnais.

Quelqu'un toqua alors à la porte. Un autre homme en costume cravate entra avec une mallette et la passa à Wilson qui la déposa sur la table et l'ouvra. Beaucoup de billets étaient disposés dedans.

Wilson : Voilà vos 3 000 000 d'euros !

Sanzu le regarde avec une expression de surprise mais aussi fou.

Sanzu : On avait dit 4 000 000 d'euros.

Wilson les regarda surpris.

Rindou : Fait pas cette tête de con.

Wilson : Mais je croyais que...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que Sanzu avait sorti son arme et lui avait tiré dessus. J'étais surprise moi aussi voyant Monsieur Wilson s'effondrer sur le sol. Les quelques gardes du corps du côté de Wilson furent eux aussi assassiné et moi je regardais la scène ne sachant pas quoi faire.

Rindou : On fait quoi d'elle ?

Sanzu : Je vais la garder.

Il me caressa la joue.

Sanzu : Je te conseille de faire exactement ce que je te dis sinon je vais te punir...

Je me crispai alors qu'il disait cette phrase et ensuite j'ai chuchoté :

Moi : Comment... ?

Sanzu : Je suis sûr que tu ne veux pas le savoir chérie.

Rindou : On peut y aller ? J'en ai marre de cet endroit.

Rindou et Ran se levèrent et Sanzu me fit signe de me lever à mon tour alors je le fis et il se leva ensuite.

Sanzu : Partez devant on vous rejoins.

Les deux hommes s'exécutèrent accompagnés de quelques gardes du corps alors que je restais seule avec Sanzu.

Il me poussa contre le canapé pour que je puisse m'asseoir sur celui-ci puis m'allongea dessus. Il se mit à califourchon sur moi et attrape mes mains et les mis au dessus de ma tête.

Sanzu : Tu es tellement belle...

Je ne savais pas vraiment si je devais dire Merci ou si je devais lui demander de me lâcher.

Finalement, j'ai opté pour ne rien faire.

Sanzu : T/P, tu es à moi et personne n'aura plus jamais le droit de te toucher sauf moi.

Par la suite il m'embrassa malgré que je ne sois pas d'accord. Il me releva et en profita pour me toucher la taille. Il m'embrasse un seconde fois mais cette fois si ça fut plus... sincère et doux.

Il avait doucement plaqué ses lèvres contre les miennes et par reflex ma bouche s'ouvrit lui permettant d'introduire sa langue.

Il se recula après environ une minute et me regarde et me vit réfléchir.

Pourquoi m'embrassait il ? Et pourquoi disait il qu'il m'aimait ?

Sanzu : Tu te poses des questions hein ?

Je sursaute face à ce qu'il me disait. J'étais tellement dans mes pensées que je n'ai plus trop fait attention à lui.

Moi : Euh oui...

Sanzu : Tu as le droit de me poser une question.

Je fus légèrement choqué par sa permission mais je réfléchis.

Moi : Pourquoi...dis tu que tu m'aimes ? On se connaît à peine...

Sanzu sourit et m'amena à nouveau dans un baiser rempli de passion. Il passa ses mains et me porta pour m'installer sur un table qui était là tout en continuant de m'embrasser.

Sanzu : Toi tu ne me connais pas... mais moi je te connais...

Je le regarde encore plus choquée qu'avant.

Moi : Hein ? Comment ?

Sanzu se recula alors de moi légèrement et commence à enlever sa cravate.

Sanzu : On avait dit une seule question à la fois... Je vais devoir te punir...

Je l'observe ne comprenant pas trop mais il enlève sa chemise se mettant torse nu et c'est à ce moment là que j'ai compris ce qu'il voulait faire...

Il se rapproche de moi et commence à enlever mon teeshirt. Une fois qu'il me la enlevé, il prend son télèphone de sa poche arrière de pantalon.

Sanzu : Il est que 22 heures... C'est bon on a le temps...

À suivre....

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Prochain Hakkai ou encore la suite
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