Hayden ébouriffa ses cheveux en regardant son reflet dans la glace attendant patiemment que la jeune femme finisse de se préparer. Il sortit son portable de la poche avant de son jeans, il régla les derniers détails pour faire de ce vingt-quatre décembre une journée spéciale et mémorable pour cette jeune femme exceptionnelle qu'il aimait. Putain ! Jura-t-il intérieurement n'arrivant toujours pas à réaliser qu'il était tombé amoureux d'Evaëlle et si admettre qu'il aimait été hallucinant, le plus dingue était qu'il avait réussi à lui avouer à haute ce qu'il ressentait. Hayden White était amoureux d'une nana d'à peine cinquante kilos, qui n'était pas plus haute que trois pommes, aux regard noisettes, à la chevelure bouclée et aussi longue que l'autre conne de princesse Disney qui se baladait pied nu. Il pianota sur son portable un petit moment avant de le ranger.
⁃ Bébé t'en a encore pour longtemps ? S'écria Hayden allant prendre sur le lit
⁃ J'ai presque fini, Répliqua la jeune femme depuis la salle de bainHayden souffla en se laissant tomber sur le dos. Il ne comprenait pas pourquoi elle se cachait dans la salle de bain pour s'habiller, c'était pas comme s'il ne l'avait jamais vu à poil mais Hayden devait avoué qu'il kiffer le côté pudique de la jeune femme, elle était adorable. Bordel ! Voilà qu'il redevenait gnagnan comme ses mecs fragiles qui se transformait en guimauve rose devant leur copine.
Fait chier merde ! Jura-t-il une nouvelle fois.
Ça faisait de plombe qu'elle était là dedans, qu'est-ce qu'elle pouvait bien foutre ? Une bonne dizaine des minutes s'écroulèrent avant que la porte de la salle de bain s'ouvre enfin.
⁃ Je suis prête ! Décréta la jeune femme debout en face du lit
Hayden se redressa. À la seconde où son regard tomba sur elle, il ne pu s'empêcher d'être frappé par sa beauté. Putain de bordel de merde ! Cette nana était foutrement canon, bandante... heu... non... belle, il voulait dire, rectifia-t-il mentalement l'esprit perturbé.
Vêtue d'une jupe trapèze rouge, d'un pull en laine noir au col v, d'un long manteau rouge et d'une paire des cuissardes qui s'arrêtaient au niveau des genoux, elle était tout simplement sublime, une putain de déesse... SA DÉESSE. Quant à sa longue chevelure brune bouclée, elle l'avait attacher en queue de cheval retenue par un ruban rouge et quatre mèches bouclées lui tombait sur le visage... un visage à peine maquillé laissant entrevoir ses tâches des rousseurs qui accentuait son côté innocent quand à ses lèvres. Putain ! Jura-t-il pour la troisième fois en l'espace de dix minutes le regard rivé sur les belles lèvres charnues de sa copine qui était soulignée d'un rouge à lèvre vif.⁃ Je... je... peux me... changer si.. cette... tenue ne convient pas
Hayden ferma les yeux puis les rouvrit brutalement pour se ressaisir. Se changer ? Il était foutrement hors de question. Pourquoi avait-elle dit ça ? C'était sans doute parce qu'il était resté immobile comme un attardé mental à la dévisageait comme un psychopathe. N'importe qui perdrait ses mots face à une telle beauté, même le plus saint des hommes serait tenté et perdrait ses moyens devant une créature aussi ravissante.
⁃ Putain bébé non ! Réagit-il enfin en s'approchant d'elle
Il prit son menton avec son index et pressa ses lèvres contre les siennes dans un baiser si doux qu'elle eut l'impression de voler. Lorsqu'il recula, Evaëlle fut bouleversé par le regard sombre qu'il coulait sur elle.
⁃ Tu es ravissante... juste... parfaite
Sourire aux lèvres, les doigts noués, ils descendirent les escaliers où plusieurs regards furent braqués sur eux. Gêner, Evaëlle baissa le regard sur ses pieds enfermés dans ses chaussures que Vanessa lui avait offert lors de la sortie au centre commercial avec comme remarque, tout le monde devrait avoir des cuissardes dans son placard. Pour une fois sa colocataire aux idées folles avait enfin eut une bonne idée, elle adorait ses cuissardes qui lui faisait ressembler à une vraie femme comme celle qu'on voyait dans les films.
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Endless : Le Commencement
Romance- Je n'en peux plus, Cria-t-elle au bord des larmes, Ça ne peux plus continuer, on est toxique l'un pour l'autre, on se fait du mal, tu me blesse toujours puis tu me promets que ça ne se reproduira plus et moi je te crois parce que je t'aime mais tu...