Chapitre 3 : Les trois dangers

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PVD Alysson

Ninon nous parlait de cette histoire de jeu, traduisant le nom, on parle de la virginité et j'y tiens moi, je l'écoute tandis que Lola et Zoé confirment petit à petit son discours, comment elle les connait si bien ? On a dû lui transmettre.

Lola et Zoé : Ninon, t'as gueule, ils arrivent...

Je me retourne quand elles prononcent cela et pousse un énorme soupir que les filles remarquèrent de très loin, elles n'avaient pas fini de parler à propos du certain Tristan, mais n'y fis plus attention et regarde au loin les mecs arrivaient, ils sont bien trois, on dirai Tristan Spitzberg au centre, celui à ses coter doit être le musclé et tatoué là, merde comment il s'appelle... Ah oui Jacob Ferrari non Ferraré, j'y était presque, et celui tout à droite Juan quelques choses, comme un jour de foot elles m'ont dis, Rodriguez, Rodès, voilà c'est ça.

Je continue à les dévisager et je les observe, ... c'est vrai qu'ils sont pas mal, qu'est-ce que je raconte moi, je secoue la tête nerveusement et regarde les filles, elles font comme moi, elles les observent même Ninon qui nous a prévenu, je sors de mes pensées pilles quand les mecs sont à 5 mètres de nous.

Jacob : Salut les filles, dit-en jouant tout en passant son bras sur l'épaule de Gary.

Gary : Adios les mecs, réagit-elle en poussant son bras, lui faisant perdre l'équilibre. Je souris.

Jacob : Ça se voit qu'on est apprécié, dit-il en tournant Gary du poignet vers lui.

Gary : T'es pas aveugle ? T'y croyait trop, dit-elle en le repoussant, il touche le coin d'une table et semble avoir un peu mal.

Moi : Ce n'est que le début de votre souffrance, les mecs, dis-je en m'avançant vers eux d'un demi pas (tellement énorme ♥).

Tristan : Que tu es belle...

Moi : Comparer à ta laideur.

Je recule d'un geste, et repousse un soupir, mais pour qui ils se prennent, j'en peux déjà plus. Et puis ce con de Tristan entrain de me regarder, je lui offrirais bien un bonbon par pitié. Je dévie mon regard, avouant que je le fixais aussi et observant Zoé en pleine détresse.

Moi : Tu veux de l'aide peut-être ?

Juan : T'es moche...

Moi : Ho.. Tu t'es enfin vu dans un miroir (ne croyait pas que j'y pensais)

Gary : Désolé si ta tête s'est de l'art abstrait (♥ Gary)

Jacob : Au moins c'est de l'art comparer à toi...

Je vais le tuer sérieux, je le pousse, prêt à le gifler, je suis fous de rage, et je le sens, les filles m'adressent des regards inquiet s'avant très bien que je vais exploser. Je recule et balance mes cheveux en arrière, je sens le rouge sur mes joues et c'est pas fini, j'ai toute les raisons de gueuler.

Moi : Autres choses ?, me calmais-je pour mieux crier après.

Ils se regardèrent, le sourire aux lèvres, annonçant un mauvais signe que je vais bientôt me mettre en colère, ils se retournèrent et je vois leurs regards divaguer vers nous.

Jacob : On aime bien votre répondant..

Moi : Et ?! Tu veux un enregistrement ?, le coupais-je, de toute manière il avait pas besoin de la suite pour que je lui crie dessus.

Tristan : Si c'est pour entendre vos voix, on est OK, dit-il s'approchant dangereusement de nous trois.

Moi : Tu sais quoi, rien que de te voir tu me soûles déjà, alors t'entendre parler, tu me fais pitié....

Ambre : Je suis sur que si tu ferai la manche, tu pourrais d'acheter une voiture, continua-t-elle.

Moi : Elle a pas tord...

On est maintenant alignés dans le self, deux rangés pas très équilibrés mais bipolaire, comme en histoire, l'année dernière, les cons d'un coter, nous de l'autres.

Juan : Pas très équilibrés tout ça.

Moi : D'une tu fermes ta gueule de merde et de deux...

Nous six : On a pas besoin de force pour vous saquer, dis-je accompagner au fur et à mesure des autres.

On est très fiers de nous, on se regarda, le sourire au lèvres, prêt à se casser du self, sérieux s'engueuler dans le self, j'avais pas remarqué que tout les autres, environ 1000 personnes avaient assister à ça.

Jacob : Restez mes chéries.

Nous 3 : On est pas vos putes, dit-on ensemble. Si vous avez besoin de satisfaire vos besoins il y a le bois de Boulogne.

Les talons tournaient, on explosait de rires jusqu'à la sortie de la cantine et même plus. Comme on les a bien cassé... les couilles. Le début d'une année, trop mouvementé, je n'espère pas les recroiser dans le couloir sinon il y aura du sang sur les murs...

#Alysson, Aly ♥
Une deuxième partit chapitre sera publié dans une semaine, il est un peu long que les qutres,(c'est moi qui écrit aussi) donc à bientôt bisous.

The Virginity GameOù les histoires vivent. Découvrez maintenant