Chapitre 3 (bis) : Décompresser seulement

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Les talons tournaient, on explosait de rires jusqu'à la sortie de la cantine et même plus. Comme on les a bien cassé... les couilles. Le début d'une année, trop mouvementé, je n'espère pas les recroiser dans le couloir sinon il y aura du sang sur les murs...

La journée passée, au bord de la sortie, les mains croisées d'impatience, on attendait les autres filles, toujours en cours avec la foutu prof de français. Je vous signale qu'elles ne sont pas dans notre classe, Zoé et Ninon. Le sac sur l'épaule, j'attends, les bras croisés, je patiente, bref je m'emmerde. Putain qu'est-ce qu'elles foutent, la prof leurs fais pas tout le dictionnaire, en faite on m'a raconté qu'elles ont gueulé en classe en disant merde, par exemple. Punition pas punition on sait pas pfff. Ça me soule. C'est qui là-bas ? Tiens des têtes connus je crois, surement du collège, je levai la tête regardant le ciel. Ha je veux rentrer chez moi. J'esquisa un regard aux autres et à voir au loin les filles accourirent hors du lycée. Je replaçai mon sac sur l'épaule et commençai à marcher. Les ombres des filles étaient présente derrière mon dos. On commença à marcher le long de la route jusqu'à l'arrêt de bus, mais celui-ci fut déjà partit. On continua alors à pied, nos chez nous n'étaient qu'à 5minutes en bus donc 10minutes si on prend notre temps. On avançait en ligne, de troix, moi devant accompagné par Zoé, qui raconté le fameux cour de français, avec à ses côtés Ambre écoutant attentivement la discutions. Lola et Gary restaient derrière se contentant du discours de Ninon.
C'était tellement intéressent qu'on s'aperçoit qu'on est à quelques rues de chez nous. On marcha le reste en silence s'adressant des petits sourires. Près de la maison, je vois les garçons, oh non pas eux, à quelques rues de nous, ils doivent habiter par là au moins c'est pas à coter de chez nous, vues où ils sont. Je respire enfin puis nous disons en revoir aux filles arrivés chez nous. J'ouvris la porte des clés précieusement gardés par mes gardes. J'entra et m'affala sur le canapé. Pff... quelle journée ! Je m'attelai à mes devoirs... oui déjà du travail pour un soir de la rentrée j'allusine !

Ambre : On va faire un footing, tu viens avec nous ?
Moi : Non j'ai pas envie (et puis je pourrai faire autre chose, pensais-je) Je suis crevée !
Gary : Comme tu veux !

Je les vois sortir de la maison, et fouille dans celle-ci trouvant ce que je cherchais un peu plus tard. Ma chicha... je la pris et commença à l'entamer. Je ne suis pas accro, juste pour decompresser, je suis pas vraiment forte en soit, mais je ne montre pas. Ouvrant ensuite literrallement la fenêtre en grand donnant sur la maison du voisin. On n'a pas eu le temps de faire leurs connaissances prise par tout le reste. Il me sembla qu'au moment de ma pensée précédente, il ouvrit son volet encore fermé. Je ne compris guère sa logique, ouvrire ses volets le soir, pour aérer, il fait pas si chaud, on est en septembre soit dit en passant. Oh une tête inconnu, non elle me dit quelques choses, ou c'est mon imagination qui me joue des tours. Je resta là à regarder, essayant t'en bien que mal de me souvenir de son visage...

#Aly
Une deuxième partie de mon chapitre car celui-ci est plutôt grand, vous aurez plus de chapitres comme ça.

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