princess[bonten x reader]

6-shopping

"Les gars, j'ai vu un truc traumatisant"

Kokonoi venait d'arriver dans le salon ou tous les hauts gradé du bonten, organisation qui était encore inconnu au yeux de y/n, était réunis, à l'exception de leur boss, et de sanzu.

"Quesque t'as vu? À voir ta tête ça à l'air choquant, le questionna l'aîné haitani.

-j'ai vu cette enfoiré de sanzu, dans la chambre de y/n-

-quesqu'il fout là bas??! Le coupa mikey, qui venait d'arriver dans la pièce, il faut dire que kokonoi l'avait alerté en passant comme une furie devant son bureau.

- je suis passé devant sa chambre pour la prévenir que nous devrions bientôt partir, j'ai entendu des bruits bizarres alors j'ai ouvert et là, Il était sur le lit de y/n, entrain de se pomper la bite, avec elle dos à la porte dans un fauteuil.

- le batard!

-je vais lui faire avaler ses dents.

-mais du coup, t'as vu sa teub..

-me rappelle pas ça crétin, je vais gerber.

-Bonjours? "

Tu venais d'arriver sous leurs regards énervés.

"Quesque vous avez?

-je suis mieux que lui y/n, pourquoi???, te demanda l'aîné haitani.

- mais-"

Koko venait de te prendre sur son épaule et de courir à l'extérieur de la salle.

Même en dehors de la pièce où tout les hommes était rassemblés on entendais leurs questions, et ils étaient certainement entrain d'harceler sanzu avec celle ci.

"C'était moin une, Mikey était vraiment énervé"

"-Maintenant, on va passer la journée ensemble.

-mmh. "

Kokonoi voyais bien que y/n était ailleurs, il en était même inquiet.

Même si lui aussi il avait énormément de question concernant la scène qu'il avait vu plus tôt, il avait decidé de s'abstenir de tous commentaires.

Il respecte énormément la jeune femme, qu'il trouve splendide, attrocement mignonne et tentatrice.

Alors que la jeune femme ruminait dans son coin, le jeune homme la pris, encore une fois, sur son son épaule.

"Aller, chérie, fait pas la tête, je vais te faire passer une journée incroyable,en ma magnifique compagnie"

Sous leurs éclats de rire, ils quittèrent le bâtiment pour rentrer dans une voiture des plus splendide.

Le chemin ce fit dans le calme, quelques tubes se fesaient jouer par la radio, alors que kokonoi tapait son doigt sur le volant au rythme de la musique, le regard plongé sur la route.

La légère brise de mois d'avril fesait virvolter sa chevelure blanchâtres.

Sa main qui ne tien pas le volant se faufila vers la tienne, carressant ta paume, et entre-lassa vos doigts.

Il se gara dans un endroit visiblement vide de monde, tout comme la plus part des magasins, des rues, ..., apocalyptique, c'est ce qui décrivait le mieux L'État de cette ville normalement bondé.

La porte de hajime se claqua, te sortant de ta rêverie, il apparu bien vide de ton côté, et il t'ouvrit la portière.

"Si Mademoiselle me le permet," il te tendit l'une de ses mains maintenant gantée.