Prologue

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"Tu es vraiment répugnante y/n!
Tu me dégoute plus que tout."

Arrêtez

"Tu es tellement pitoyable que même à ton grand âge tu ne peux pas partir vivre seul"

Stop...

"Tu as vraiment des penchants ignoble, hideuse, c'est se que tu es"

Arrêtez je vous en suplie

"Si tes pauvres parents voyaient ce que tu es devenu, ils seraient tellement déçu. "

S'il vous plaît....

"Tu es la cause de la mort de ta mère, de ton père et de toute ta famille, pourquoi tu es la seule encore en vie? Hein?! Il ne méritaient pas de finir comme ça, toi si, alors pourquoi tu es toujours la?!?"

J'ai Dis STOP!!

Mes larmes dévalaient mes joues, pour finir leurs route sur le maigre matelas, moisie et déchiré, sur le quel j'avais trouvé refuge après avoir passé des mois dans une maison où je n'avais pas ma place.

Mon corps était secoué de tout part, du au froid, mes spasmes, mes pleure, ainsi que les forces qui me manquait.

Mes grands parents me haïssent plus que tout.

Plus petite, ils avaient promis à mes parents que je serais nouris, que j'aurais un endroit pour dormir, et serais choyé, mais comme toutes choses, les promesses sont faites pour être brisées.

Selon eux, j'avais depassée les bornes, ma cousine, qui elle etait adulée par toute "ma" famille, venait, une fois par mois, faire bonne figure au prés de mes hôtes, alors que cette fille est une vraie garce.

Elle m'a littéralement jeté sa soupe dessus, je ressentais encore le liquide brûlant se promener sur mon épiderme, laissant derrière elle, de douloureuse marque rouge.

Mais comme je semblais être le vilain petit canard de cette famille, j'avais été prise pour fautive, après de nombreuses fausses larmes de la part de ma chère et tendre cousine.

Alors je me retrouve là, dans cette cave glacial sur ce matelas, qui grouille de toute sorte d'être affreux.

Mais c'était mieux que rien.

Je n'avais rien mangée depuis hier matin et on était le soir, ma gorge me fesais affreusement souffrir, pareil pour mes tripes.

Alors que je m'assoupis dans un someille qui m'est maintenant commun, les bruits d'une porte, de gens qui cris, de pas resonant dans la pièce mais tout de même étouffées par les sifflements qui perdure dans mes oreilles, retentirent dans ma tete, me fesant attrocement souffrire.

princess[bonten x reader]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant