06 - ESSAI CHELOU.

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TW : sang, cadavre, scène explicite de torture.

12:47
Elle enfonce sa main dans la tête d'un cadavre, ses doigts se logeant dans sa bouche, par la gorge. La jeune femme se mit à son aise par terre, le crâne de sa victime entre ses jambes. Elle s'amuse depuis un quart d'heure déjà - le temps passe vite quand on aime ce que l'on fait -.

Son acolyte, «le toxico» si l'on suivait les dires de la rousse, posé non loin d'elle, s'affaire a nettoyer son pistolet. Le duo, venait de commettre un meurtre et d'appliquer les règles de leur métier.

Ils sont chasseurs de primes, leur boss met un prix sur une tête, l'un des nombreux duo est chargé de la tâche et la magie opère.

«- Bon, on décolle, j'ai faim.
- T'as toujours faim, laisse moi finir Johann. »

Elle remonte sa main jusque dans les yeux du mort, enroule ses doigts autour des nerfs. De cette façon elle peut, si elle déplace ses doigts dans la tête du cadavre, lui faire bouger les yeux. Il devient une marionnette se faisant manipuler par la jeune fille rousse.

Johann se rapproche d'elle pour observer le spectacle, le cadavre louche. Il lâche un rire mi amusé mi dégouté.

Un petit grondement résonne dans le hangar. Le dit Johann a réellement faim, ce que la jeune fille comprit. Elle dégage ses doigts du morceau de cadavre, sort du bâtiment et mime un lancer de ballon de basket avec la tête. Celle-ci atterri dans le trou creusé au préalable par le duo.

Le garçon, fait de même avec le reste du corps, pendant que la rousse aux yeux marrons, verse un seau d'eau et gratte le sol avec un balais. Le sang est déjà marqué dans le sol tel une cicatrice sur un blessé.

13:26
«- On est quel jour Sam ?
- Hum, le douze. Répondit la rousse, Sam.
- Tu payes le repas donc. »

Ils avaient fait un marché, les jours pair Sam payait les repas, les jours impairs c'était à Johann.

Pour ne pas changer le garçon blond choisit ses sandwichs au hasard, les yeux a peine fermés. Enfin, ouverts ou non, il ne voit rien à part le paysage qui bouge, lui donnant mal au crâne. Il avait encore trouvé le moyen de se droguer pendant qu'ils se rendaient au supermarché.

Tandis que la jeune fille choisit les sandwichs au thon -comme toujours-, ceux-ci ne pouvant êtres égalés par aucun autres, d'après elle.

18:07
Johann posé sur un des canapés, dort la tête en bas. Malgré le charisme exceptionnel du jeune homme, quand il dormait il en était tout autre. La rousse dort accrochée à la jambe de son partenaire tel un koala. Les deux ressemblent plus à un amas de bras et de jambes qu'à des personnes se reposant.

Une voix grave s'élève dans le salon :

«- Faut faire quelque chose là, ils passent leurs journées à dormir. »

L'homme vêtu d'un costard, sûrement ajusté à sa petite carrure -ne devant pas faire plus d'un mètre soixante-, le noir de son costume similaire à ses yeux, n'inspire pas confiance. Son visage maigre et blanchi, lui fait paraître trente ans, n'en possédant réellement que vingt et un.

L'homme a côté de lui paraît être un géant, celui-ci habillé d'un survêtement gris. Ses cheveux ébène lui tombant sur les yeux marrons, scrutants les deux adolescents sur le canapé.

«- Debout les avortons ! Qu'est ce que vous faites a dormir ? » Gueule le plus petit, sa question ne demandant pas de réponse.

Sam émerge de son sommeil, lâche la jambe de Johann et s'assoit de manière plus correct face à son supérieur. Le blond se contente d'ouvrir les yeux à demi et de garder sa position.

«- Vous pensez pas avoir quelque chose de mieux à faire ?
- Par exemple remplir vos papiers de mission ? » Complète le plus grand, voyant le visage perdu des deux jeunes.

Sam fit mine de se gratter la nuque, Johann se débattant silencieusement, un mal de crâne lui prenant.

«- C'est déjà fait, ne nous sous estime pas.
- Hum et qu'est-ce qu'il branle l'autre là ? Regarde-le ! Il ne peut même pas ouvrir les yeux et suivre la conversation ! »

D'accord il n'a pas tort, mais en attendant les deux jeunes sont plus efficaces que la plupart des gens ici.

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J'ai laissé ce texte tel quel, que ce soit, les incohérences, les fautes, les mauvaises conjugaisons etc, tout est là.

De base c'était sensé être une histoire, mais bon, vu comment je m'y prenais, j'ai jamais pu prétendre la finir. Ptdrrr j'avais aucun scénario, aucune base, la blague.

C'est comme le truc d'avant, peut-être que j'aurai l'ambition et la motivation d'écrire de belles choses avec cette base. 

Passez une bonne journée ou une bonne soirée et à la semaine pro <33

- MAX.

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