Donovan

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- non je resterais ici, avec vous, pour vous connaître.
Je regrettais ces paroles, mais, j'avais vraiment envie de savoir qui étais cette mystérieuse et sublime Rebecca. Aujourd'hui elle portais une robe noir en satin avec un dos nu. Contrairement à hier elle portais des talons mais blanc. En me réveillant de mes pensée je remarqua qu'elle me regardait bizarrement.
- je vous ai dit de partir. Pas de faire votre homme galant, qui veut apprendre à connaître sa sa future épouse. Souffla t'elle.
- et si j'en aurai envie. Qui m'en empêchera ? Répondais-je.
Elle roula des yeux aux ciel et fit pas un hésite de plus. Elle se laissa faire.

Il étais maintenant une heure du matin et nous étions encore au bar. Il commençais à y avoir de plus en plus de monde. Rebecca étais saoul et je commençais à hésiter si je devrais la ramener ou pas vu son état.
- mademoiselle je doit vous ramener chez vous. Vous êtes bourré et je ne peut pas vous laisser de tel ici. Elle fit des geste avec ses mains que je ne pu reconnaître. Oui, elle avait vraiment bu. Heureusement pour elle qu'on étais désormais samedi matin et non lundi. Elle se leva et perdit l'équilibre. Je fit un grand pas et la rattrapa.
- j'ai... pas besoins... de vo-
- si je vais vous ramener. Où habitez vous ? Lui coupais-je dans sa phrase.
Elle me dit son adresse et je l'accompagna jusqu'à ma voiture.
- vous avez une belle caisse beau gosse.
- merci beaucoup. Répondis-je.
J'espère qu'elle ne se rappellera pas de se qu'elle a dit quand elle se remettra de l'alcool. "Beau gosse" moi même je ne savais pas si s'était vrai. Je la posa sur le siège enleva ses long talon passager l'attacha et mis ma veste sur elle pour pas qu'elle aie froid, car, on étais en pleine automne.

Trois quart d'heure plus tard, nous arrivâmes a sa maison. Je regarda vers ma droite et vis qu'elle dormais. Je ne savais pas quoi faire. Si je devais la réveiller et qu'elle se demerde seule ou si je devais la ramener chez moi. Son père est très muscler Donovan. Pensais-je soudainement. Oui mais après il aura plus d'argent... et puis merde. Je pris la deuxième désistions. Je redémarra la voiture et repris la route pour rentrer chez moi. Putain de merde. Il y aura une femme chez moi. Je sais pas se que pensera mon pote qui m'avais dit de faire attention à elle mais il ne sera pas content.
- nous somme arriver. Chuchotais-je pour pas la réveiller. Je sortis de la voiture ouvris la porte passagère et la pris dans mes bras pour l'amener jusqu'à ma chambre.

Elle étais entrain de dormir sur mon lit quand je revenus avec ses affaire qui étais rester dans ma voiture. Je me changea vite fait dans mon dressing et partit dans mon salons pour dormir, car, j'allais pas prendre le risque de rester avec elle, dans le même lit.

Un jeu dangereux...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant