Sayana : Mon ange tout droit venue de l'enfer.

Chapitre 12

Voici le treizième chapitre mes bébés 🫶🏽, bonne lecture.

Le chauffeur est arrivé, nous allons aller dans une autre villa pour la nuit de noce.
Cette nuit de noce a vachement été repoussée plusieurs fois à cause des rendez-vous de Émir, pourtant nous l'avons esquiver des deux côtés.

Je suis vêtu d'un cargo noir avec un débardeur noir aussi, avec mes paires de bottines.
J'ai aussi lisser mes cheveux car depuis la soirée de Samuel j'ai trouvé que ça m'allait très bien.

Je descend les escaliers, Émir était déjà dans la voiture entrain de m'attendre, je ne me suis même pas dépêché un peu juste pour le faire chier, après tout, tout ce qu'il m'avais fait ces derniers jours je n'est pas oublier.

J'ouvre la portière.

Il est déjà entrain de me fusillé du regard mais je ne lui donne absolument aucune attention.
J'entre et m'assois sur le siège passager.

Lui: pourquoi à tu prit autant de temps ? Pourtant je t'avais dit de te dépêcher. Dit-il avec une voix froide.

Moi: je suis là maintenant. Dije en ne lui lancent même pas un regard.

Il souffle puis démarre.

Nous avons fait plusieurs minutes de route, et nous nous éloignons de plus en plus de la ville.

Je regardais à travers la vitre de la voiture, l'Italie est vraiment un beau pays. Je n'ai pas eu l'occasion de le visiter mais je le ferai quand même avec ou sans lui. Quand j'étais au Japon, je ne sortais pas je restais à la maison, je sortais quand c'était nécessaire, que pour les missions de père.

Je sentais son regard sur moi, mais je ne dis rien.

Nous sommes arrivés, je pensais que nous allions aller dans une grande villa comme l'autre, mais je me suis trompé.

Il a garé la voiture devant une petite maison, elle était pas si petite que ça mais elle faisait l'affaire. Nous descendons. Il commence à marcher donc je le suis.

Arrivé devant la maison, il ouvre la porte sans même eu avoir besoin des clés. C'était comme si cette maison était habitée par quelqu'un.

Je rentre à mon tour, nous arrivons dans le salon quand je vois une dame en train de regarder la télévision sur une chaise en bois. Quand on se regarde se posa sur Émir, elle fit un sourire chaleureux, un sourire avec amour et tendresse comme celui d'une mère.

Quant à émir, il lui sourit en retour.

Elle: Émir. Dit-elle en lui serrant dans ces bras.

Il ne la repousse pas, mais ne la serre pas non plus.

Elle: tu m'a tellement manquer, je croyez que tu ne viendrait plus me voir mon enfant. Avec un sourire.

Elle le considère comme son fils,cela veut dire qu'il l'a connaît très bien.

Elle pose son regard sur moi.

Elle: comment t'appelle tu ? ma chère fille .

Je la regarde gêner, elle m'a appeler ma chère fille, je ne suis pas habitué à ce qu'on m'appelle comme ça.

Moi: je m'appelle Sayana et vous ?

Elle: je m'appelle Marta mais tu peux m'appeler Marie, dit-elle avec un sourire d'une douceur incroyable.

Je lui sourie mais ne répond pas.

Elle: c'est elle t'a femme n'es ce pas ? Sourie telle.

Il fronce immédiatement les sourcils.