L'expérience Alpha ~~ Le labyrinthe.

ᴄʜᴀᴘɪᴛʀᴇ 16: ᴘᴏᴛᴇɴᴛɪᴇʟʟᴇ ꜱᴏʀᴛɪᴇ

Je me réveilla doucement en sentant les rayons du soleil sur mon visage. J'ouvrit les yeux et je vit que j'étais littéralement allongé sur Thomas, qui lui, étais réveillé. Je me releva comme un fusée. Je parie que je devait être rouge pivoine.

- Désolé, marmonnais je en regardant le sol.

- De rien, sourit il en s'asseyant plus confortablement.

Je me racla la gorge et j'entendit des pas arriver qui étais sans doutes ceux de Minho.

- Minho arrive, informais je en me levant.

L'asiatique se montra et nous sourit malicieusement.

- C'est le grand jour, vous êtes sûr que vous avez envie de le vivre ?

- S'il te plaît, fait pas le con et sort nous de là, ricane Thomas.

Je rigola et sortit en première. 

- Enfin, soupirais je en m'étirant.

- Allez, c'est partit !

Et nous partîmes aux portes du labyrinthe en trottinant. On s'arrêtèrent devant, attendant qu'elles s'ouvrent. Je regarda Thomas, qui me sourit. Je me prépara à courir et Minho s'engagea en premier à l'intérieur. 

- Quand faut y aller, faut y aller, soufflais je me mettant à courir. 

Je suivais l'asiatique en faisant bien attention de rester derrière lui, ne souhaitant pas me perdre et il nous montra le chemin jusqu'au centre du labyrinthe.

On finit par arriver. Le sol étais sec et les murs nous entouraient en formant un rond. 

- Eh bein, chuchotais je.

- Sa tu le dit, répond Thomas, tout aussi bouche bée. 

On redémarra et je finit par remarquer que Thomas fatiguait. Je ralentit, me mettant à sa hauteur et l'encouragea d'un regard. 

- La section 7 n'est pas sensé être ouverte, souffle Minho lorsqu'on passa le mur on étais inscrit un grand "7".

- Et c'est grave ?, demandais je longeant du regard les murs.

- C'est ce qu'on verra, me dit Thomas en me souriant avant de se remettre à courir.

On arriva à un endroit bien bizarre, ou se trouvait de fins murs de partout, de sorte qu'ils soient en ligne droite. 

- C'est quoi cette endroit ?, s'étonne Thomas en contemplant se qui nous entouraient.

- On les appelles les lames.

- Les lames ?, dis je, incrédules en m'approchant.

Je me remit en route, faisant attention à tous ce que je pouvait entendre. Il nous faut des réponses, on n'a pas le choix. Alors il vaut mieux que l'ont les trouves le plus vite pour que l'ont puisses tous se casser d'ici. 

On s'arrêta devant une pile de vêtement salis et tâchés. L'odeur me confirma directement que ses habits appartenaient au pauvre Ben. Je fronça le nez et souffla. Minho attrapa le tee shirt et regarda tristement. 

- C'est à Ben ?, demande Thomas, le visage voilé en voyant le tissus tâchés de sang sec.

- C'était à Ben, marmonnais je en me relevant.

- Ouais, il a dût se faire prendre par un griffeur.

Qui veux tu que se soit d'autres, Minho ? Un bip-bip-bip incessants nous fit froncer des sourcils. 

- C'est quoi ce bruit ? 

Thomas prit dans le sac de Minho notre indice qui venait du griffeur. Il bipait, secondes par secondes.