The Drugs of the vampire ( En correction)

Chapitre 11'

-je n'arrive pas à croire que j'ai oublié mon propre anniversaire, et le pire c'est que Eliotte à du oublier aussi, dis-je à Ian tandis qu'il me câline pour me réconforter. Je n'ai jamais oublié notre anniversaire, comment peut on oublier le jour de sa naissance surtout que aujourd'hui nous avons 18 ans...
Je réalise soudain quelque chose,

-c'est cela que fabrique Marie dans la cuisine alors ? Demandai-je à Ian en me levant de ses genoux. Il se lève lui aussi comme pour m'imiter.

-oui, elle est allée faire des courses ce matin avec Stan pour vous préparer une surprise d'après elle ça vous fera plaisir. Moi je préfère mon cadeau, dit-il en me souriant. Je lui rend son sourire tout de même vexée que Marie soit sorti visiter les alentours sans moi. Je finis par décider de profiter de ma journée comme il ce doit.

-bien puisque c'est mon anniversaire et que tu dois faire tout ce que je veux...

Ian m'attrape par la taille m'empêchant de finir ma phrase et approche son visage du miens, je crois qu'il va m'embrasser mais il ne le fait pas.

-je sais ce que tu vas me demander et je ne suis pas contre tant que Stan t'accompagne et je veux aussi un baiser.

Je suis ravis que Ian accepte que je vois Philippe de suite je pensais qu'il allait tout faire pour retarder la chose. Pour ne pas perdre de temps, je passe mes bras autour de son cou et je me soulève sur la pointe des pieds pour déposer un baiser sur ses lèvres comme il me l'a demandée mais il me surprend en me serrant plus fort contre lui et en approfondissant le baiser qui devient finalement langoureux. Comme à son habitude mon propre corps me trahis et je ne peux m'empêcher de me coller à lui tout en enfouissant mes mains dans ses cheveux. C'est Ian qui met fin au baiser mais c'est pour poser ses lèvres sur mon cou. Mes jambes sont flageolantes et si il ne me tenait pas, Je serais sûrement déjà par terre.

-on avait dit un baiser, dis-je en essayant de reprendre mon souffle. Je sens son sourire contre ma peau et il relève la tête pour me regarder dans les yeux. Son regard est brillant de désir et je suis obligée de détourner le mien pour ne pas me jeter à nouveau à son cou.

-tu ne sais pas à quel point c'est dur de résister, et puis j'adore voir que je te fais toujours autant d'effet avec un simple baiser, imagine nous dans un lit...
Je lui donne une tape sur le torse en me reculant. Pas parce que ça me gêne au contraire les idées me viennent et je ne pourrai bientôt plus penser clairement.

-ça suffit, tu as eu ton baiser montre moi où se trouve Philippe s'il te plait.

Il perd un peu de son sourire quand je dis ça mais me prend tout de même dans ses bras.

-ferme les yeux je ne veux pas que tu sois tentée d'y retourner seule.
Je lève les yeux au ciel,

-de toute manière à cette vitesse je n'y vois rien.
Je ferme quand même les yeux pour lui faire plaisir et un courant d'air plus tard il me repose sur mes pieds. L'endroit où nous sommes est plutôt humide, c'est une cave à vin.

-tu as une cave à vin chez toi ? C'est vraiment un truc de riche, d'ailleurs tu bois du vin ? Demandai-je en enlevant la poussière de l'une des bouteilles, le millésimes indiqué est 1918, cette bouteille doit valoir très chère.

-nous aimons la nourriture humaine bien qu'elle ne nous suffise pas. Bon, Stanley t'attend au bout du couloir je veux que tu sois revenue dans 15 minute d'accord ?
Je lui promets d'être à avant de m'enfoncer dans le couloir en brique. la maison est bien plus grande que j'aurai pu le croire. Je trouve comme prévu Stanley devant une porte en bois cadenassée. Il me sourit mais je ne le lui rend pas. Je n'ai toujours pas digéré la façon dont-il m'a balancé dans la voiture l'autre fois. Il dit que nous étions ami mais je n'arrive pas à m'en souvenir je sais juste que Ian à confiance en lui et que je ne crains rien tant qu'il est ici.