Chapitre 38

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Je pense que quand on aime une personne, on essaie toujours de l'éloigner de nos problèmes. On fait en sorte qu'elle pense qu'on est parfait, qu'on est un ange, alors qu'en réalité, l'ange que nous sommes, est un ange déchus.

On a toujours l'impression que nos défauts feront fuir cette personne. On a toujours peur de montrer qui nous sommes au fond, et nous nous cachons derrière des tonnes de mensonges et d'excuses.

Mais avec Leya, tout était différent, j'avais essayer de lui cacher qui j'étais

Mais au fond

Nous étions tout les deux, des anges déchus.

J'étais sur le sol, cherchant de l'air ou je pouvais en trouver. Ma gorge me brûlait et je sentais le liquide dans mon estomac. Il me détruisait et me faisait me tordre de douleur.

Tout cela était insupportable. Je n'en pouvais plus.

Je sentais la poussière du sol venir dans mes poumons et salir mon corps.

J'arrivais à peine à ouvrir les yeux, et si tant bien que mal j'y arrivais, mes yeux me brûlaient. Je voyais flou et seul mes larmes venait se frayaient une place sur mes joues salie.

J'avais seulement besoin de la sentir, sentir qu'elle était là, près de moi, vivante.

Je m'étouffais avec chacune de mes respirations.

En réalité, la vie passe si vite, on n'y pense pas souvent. J'ai merdé tout le long de ma vie, j'ai niquer ma vie pour une femme, mais je savais, qu'elle était la femme de ma vie.

Ma vie a réellement commencer le jour ou ses yeux d'un bleu ciel se sont posée sur les miens. C'était la première fois qu'une personne me faisait autant d'effet, elle avait le don de pouvoir me calmer peut importe se que je faisais. Je pouvais avoir toute la haine du monde, le simple toucher de Leya pouvait tout apaiser.

Mais je savais qu'elle ne plaisait pas qu'à moi au moment où j'ai pu sentir les pas de Bill se rapprocher d'elle.

Il avait pourtant lui aussi bu, mais il n'avait pas encore les symptômes.

seul moi et Leya étions à terre.

Il était aller vers elle, à la place de son propre frère.

-Leya, réveille toi je t'en supplie

Mes oreilles bourdonnait mais je pouvais quand même entendre les faibles mots de Bill.

Comment pouvait il me faire sa.

Mon propre frère.

Je l'entendis s'écrouler à son tour, suivie de près par une autre personne qui semblait être Georg ou Gustav.

Mais je sentais que deux personne ne tombaient pas.

Deux personne n'avait pas réellement bu dans la coupe.

-La réel tragédie, c'est qu'ils aient cru que nous avions bu, ils sont mort bête
Dit une voix féminine

Il me semblait que la personne était Julie, mais tout était si flou dans ma tête que je ne comptais pas prendre en compte se qu'elle venait de dire.

Je voyais ma vie défiler devant moi, sans rien pouvoir faire.

Mes paupières étaient lourde et je ne savais pas comment tout cela allait se finir. Je savais simplement, que ça allait se finir.

Un tir résonna, et je sentais un liquide s'approcher durement de mon corps. Le liquide était chaud, s'était sûrement du sang. Je craignais que se soit celui de Leya. Je ne savais plus quoi faire.

Vouée à l'échec || Tom KaulitzOù les histoires vivent. Découvrez maintenant