Chapitre 6

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                        Alenzo Ferrer

Voilà maintenant plus de 2h que mon ange dort dans sa chambre et depuis je n'arrête pas de penser à elle. Quand j'ai entendu la porte s'ouvrir j'étais prêt a menacer la personne qui a osait ouvrir la porte sans même avoir ne serait-ce toquer avant mais c'était avant de voir cette silhouette d'ange que je reconnu immédiatement. Avec ma chemise sur elle que Maria, ma gouvernante et aussi notre nourrice d'enfance de moi et Juan. Elle était si belle que mon cœur a raté un battement lorsqu'elle a levé son si beau regard sur moi.

Elle avait peur et je ne pouvais pas lui en vouloir, c'est légitime mais je ferai tout pour que cette peur disparaisse de ses beaux yeux. Malgré le fait qu'elle est essayée de se défendre avec une lampe ? Oui une lampe et qu'elle est voulu m'assommer avec ce qui n'aurait pas fonctionner tout en sachant que j'étais en face d'elle est qu'elle allait frapper à gauche de moi, elle était toujours aussi mignonne avec son petit ère rebelle qui n'a duré qu'une fraction de seconde.

Mais mon petit moment passé avec Athéna fut de courte durer quand cet abruti de Juan c'est interposé dans le but de tout simplement voir Athéna car même si pour lui il est soi-disant venu pour me « secourir » d'une lampe, tout ceci est qu'une excuse.

Ce qui me surprit le plus c'est de voir qu'elle n'a pas osé partir d'ici, même si cela reste impossible vu le nombre de gardes autour de la maison et le nombre de caméras sans compter les détecteurs. C'est aussi parce qu'elle n'a nulle part aller et qu'elle ne connait pas le chemin pour sortir de la foret qui entoure ma demeure. Elle est entrain de dormir comme un bébé ce qui me ravie le plus.

Un cri me sort de mes pensées ce qui me fait courir vers les escaliers en reconnaissant ce cri de peur. En moins de trente seconde j'arrive devant la porte et l'ouvre tout en la faisant claquer contre le mur.

Mon regard se pose sur mon trésor en train de se tortiller dans sa couverture. Elle se débat tout en pleurant et en criant d'une voix aiguë.

Je cours vers elle tout en la ramenant contre mon torse. Elle me frappe le torse et s'agite en criant et pleurant ce qui a le don de me déchirer le cœur. Je lui récite des phrases russes tout prêt de son oreille et lui caresse le dos. Elle reprend son calme tout en se serrant fort contre moi. Elle renifle contre moi et se rendort tout en restant contre moi.

Juan m'avait déjà parlé qu'Athéna faisait des crises de terreur durant son enfance, généralement quand elle était petite cela ne durer pas plus de 10min ensuite elle se rendormait sans encombre mas depuis son adolescence, ses crises sont devenues de plus en plus compliqué et de plus en plus grave. Elle s'est déjà mutiler les bras avec ses ongles et a déjà perdu connaissance heureusement que son médecin soit venu à temps. Quand cela lui arrivé le soir sa belle-mère l'a frappé au visage et la secouer brusquement pour qu'elle se réveille. Je me ferais une joie de m'occuper de leurs cas plus tard et je lui ferai regretter ses gestes.

Je pris la décision d'emmener Athéna dans ma chambre avec moi pour qu'elle puisse dormir en paix dans mon lit. Elle continua de se serrer fort contre moi alors que je m'apprête à la mettre sous la couverture de mon lit.

« Ne partez pas s'il vous plait » dit- elle d'une voix douce et endormie.

« Je serai juste là Athéna je ne vais pas partir » dis-je une voix douce à mon tour.

Elle entoura cette fois-ci ses bras autour de ma nuque en me serrant fort contre elle.

« Je....non reste..... » dit-elle d'un sanglot.

Je ne me fis pas prier en entendant ce sanglot je l'allongea prêt de moi. Elle se colla à mon torse tout en fermant ses mains comme un enfant. Je lui recita des phrases russes tout en caressant son dos. Mon cœur battait la chamade alors que mes yeux prennent cette image d'Athéna collait à moi qui restera dans mon esprit pour longtemps. Je l'aime et cela m'inquiète, non pas pour moi mais pour elle car je ne pourrais plus jamais la laisser partir tant mon amour et mes sentiments sont si grand pour elle.

Mon Trésor de MinuitOù les histoires vivent. Découvrez maintenant