11. Corps à corps ❤️‍🔥 (SX explicite)

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Paupières closes, lèvre inférieure pincée afin de retenir un soupir d'anticipation, Aïden appuie ses avant-bras contre le mur le plus proche

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Paupières closes, lèvre inférieure pincée afin de retenir un soupir d'anticipation, Aïden appuie ses avant-bras contre le mur le plus proche. Il se cambre légèrement sur le carrelage, prêt à suivre le plan le plus brillant que son plan cul ne lui a jamais soumis : se détendre et profiter.

Jubilant encore grandement de sa victoire, Émeric accroche ses hanches à pleines mains. Il se fait une joie de retracer la ligne médiane de son dos, du bout de sa langue lubrique, jusqu'à arriver aux fossettes encadrant le creux de ses reins. Lorsqu'il atteint enfin la fente donnant naissance aux pommes juteuses de son postérieur, il s'agenouille – sans grande considération quant au sol mouillé – et entreprend de recommencer sa taquinerie en sens inverse.

Ses mains pétrissent ces miches appétissantes à souhait, qu'elles écartent  ensuite des pouces afin que sa gloutonne de langue se fourre au milieu. Elle couvre d'abord de caresses des bourses duveteuses, puis remonte jusqu'à une rondelle palpitante, où une dose généreuse de salive et d'attention lui permet de pénétrer facilement. Pour le plus grand plaisir d'Aïden.

— Ah, oui, soupire-t-il en soulevant le bassin vers l'arrière, les tripes tordues d'excitation.

Déjà en partie dans les nuages, il n'en faut pas beaucoup pour le contenter. Il écarte un peu plus les cuisses quand les doigts de son amant entourent son sexe en éveil, qu'ils cajolent pendant que sa bouche chaleureuse dilate son étau.

— Mh... Tu m'as vraiment beaucoup manqué, marmonne Émeric d'un ton appréciateur lorsqu'il recule pour reprendre son souffle.

Hypnotisé par la chair exposée sous ses yeux de vautour, il se branle machinalement avant de lubrifier ses phalanges.

Aïden se mord la lèvre, ravalant ses gémissements autant que possible en sentant ses doigts glisser entre ses fesses. Fébrile, il se penche davantage et maintient son équilibre avec une main ferme sur sa cuisse quand Émeric se contorsionne pour le sucer lascivement. 

Pompé et doigté en même temps, Aïden voit presque des étoiles. Il grogne de frustration quand son amant laisse sa verge nécessiteuse rouler hors de sa bouche, mais s'apaise dès que la suite – d'autant plus jouissive – s'annonce avec un bassin pressé contre ses fesses.

Joueur, Émeric flatte son dos offert ou enserre ses hanches tout en frottant son pénis dégoulinant de pré-cum au milieu de sa raie poilue.

Torturé par ce manège, Aïden envoie une main tâtonner à hauteur de son postérieur. Soulagé de trouver l'objet de sa délivrance, il le malaxe brièvement avant de le guider vers son anus. Puis il s'en enfonce goulûment le gland, sans plus de cérémonie.

Les yeux révulsés de bonheur, Émeric laisse échapper un soupir. C'est peut-être bien ce qu'il aime tant chez Aïden. Une fois convaincu, il ne tourne jamais longtemps autour du pot. Il ne réclame ni affection, ni réconfort.

Que du sexe.

Pur et dur.

C'est tout ce qu'Émeric a jamais eu à offrir et, pourvu que des sentiments annexes ne s'infiltrent pas au milieu, ce fondement semble amplement suffire à leur relation.

Tu tousses... Tu crèves ! (TW COVID-19)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant