Nous nous etions fait attaques par le deuxieme royaume qui etait notre royaume d'origine: La ou vivent les Hommes a la peau noire. Nos parents s'en etaient aller parce qu'il etait passionnes d'aventure ( chose que je n'avais jamais compris ) et nous nous etions jamais aller et eux n'y etaient jamais retourner jusqu'a leur mort.
- Alisson, je suis revenue en me cachant parce que c'est sûr que nous avons maintenant tout le royaume à dos... Commença-t'il paniqué
- Non non non non, nous sommes nés ici, ils nous ont tous vu grandir...
- Ils nous ont tolérés mais jamais accepté comme leurs et tu le sais et la vérité c'est que nous ne sommes pas d'ici
- Nous sommes d'ici, nous avons tous notre vie ici, nous ne connaissons que cette coutume et...On frappa violemment à la porte nous faisant sursauter tous les deux.
- Retourne dans la pièce, vite! Ordonna Pharell
Je retournai dans ma cachette la peur au ventre avec la tête de mon fils sur le cœur.
- QUI EST-CE !? Cria mon frère
- LA GARDE ROYALE
- QUE VOULEZ-VOUS !?
- NOUS AVONS POUR ORDRE DE VOUS RAMEMEZ AU PALAIS, VOUS ET VOTRE SŒUR
- Oh non. Chuchotai-je. Oh non non non nonJe me levai d'un bond et sortit de la piece en courant.
- POUR QUEL MOTIF ? Demanda mon frere. Ou allez-vous ?
- Mettre mon enfant en securite
- ORDRE DE LA REINE ! Repondit le gardeLa pute !
- POUR, QUEL, MOTIF !?
Je me rendis au compartiment des domestiques.
- Madame ? Fit Yadia perdue en me voyant arriver avec un garde
- Je dois m'absenter alors je vous laisse avec Ali. Dis-je très proche d'elle. Prenez-le et quittez la maison, rentrez chez vous ( dis-je en silence donc elle lisait sur mes lèvres )
- Tres bien madameJ'embrassai mon enfant.
- Je t'aime. Lui chuchotai-je.
Je retournai retourver mon frere.
- OUVREZ OU NOUS ENTRERONS ET UTILISERONS LA FORCE MONSIEUR
- Ouvre leur. Lachai-jeIl me regardait et je voyais qu'il avait très peur.
- Tout va bien se passer, ouvre leur.
Il avança vers la porte et me lança un dernier regard alors je hochai la tête et il ouvrit la porte. Je ne savais pas du tout ce que je faisais mais j'avais depuis un certain temps cette fois en la providence qui me pousser à faire des choses assez folles.
- Messieurs dame veillez nous suivre stp. Ordonna l'un d'eux
- Ou est le bebe ? Demanda mon frere dans notre langue maternelleCela faisait très longtemps que je n'avais pas entendu cette langue et ça me donna des frissons.
- En securite hors de la maison. Repondis-je dans notre langue maternelle
Encore une fois j'arrivais au palais en peignoir, sans même m'être brosser les dents et conduite directement devant le trône où était la reine avec un ventre que je jugeai un peu trop gros pour le temps qui était passé.
- On s'incline devant la reine. Ordonna-t'elle très énervée
On s'exécuta à contrecœur et je pouvais entendre la coeur de mon frère battre depuis la position. Je le regardai et il transpirait et tremblait comme une feuille. Son cou était raide et son buste droit comme un pic.
- Ne la regardez pas et laisser moi répondre aux questions. Lui chuchotai-je dans notre langue maternelle
- Vous êtes chassée du palais et votre enfant qui était censé être l'héritier au trône n'est pas reconnu et nous nous faisons attaquer par le deuxième royaume qui est, votre terre d'origine. Commença la reine au bord de l'explosion. Es-ce un hasard ? Je ne pense pas !
- Nous sommes en effet originaire du deuxième royaume mais nous n'y connaissons rien ni personne et vice versa. Répondis-je calmement. Alors pourquoi es ce qu'ils se battrait pour moi ? Sachant très bien que cet acte a et aura de grosses conséquences ?
- Oh svp, ce qui caractérise le deuxième royaume est une solidarité abusive et maladive et vous êtes littéralement l'une des leurs !
- TOUT CE QUE J'AI DE LÀ-BAS C'EST MA PHYSIQUE ET LE PEU DE CHOSE QUE MES PARENTS M'ONT LAISSÉ SINON JE SUIS BIEN PLUS SUJET DU TROISIÈME ROYAUME QUE VOUS PARCE QUE SI VOUS L'AVIEZ OUBLIÉ JE VOUS RAPPELLE QUE VOUS ÊTES UNE ÉTRANGÈRE
- COMMENT OSEZ-VOUS !? Hurla-t'elle en se levant
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𝑹𝑬𝑮𝑰𝑰𝑺 𝑼𝑻𝑬𝑹𝑰
Historical FictionC'était un midi ordinaire où le restaurant était bondés m'obligeant à faire la navette entre la cuisine et l'accueil en mettant moi-même la main à la pâte vu que mon frère était visiblement trop occupé à fumer des cigares et siroter du vin de luxe a...