Les jours, pour un temps,
Furent heureux.
Un temps où j'étais innocent
De ces jours, il m'en reste peu.
Voire pas.
Qu'est-ce que je regrettes ces jours
Où il n'y avait pas que moi,
Mais hélas, je ne peux faire de retour.
Au passé, où tout était parfait,
Et où on ne pleurait point.
Mais, on a dû se quitter, un jour lointain
Et je pleurais
Je pleurais pour mes amis perdus
A jamais.
Je pleurais mes amis disparus
Et que je ne reverrais jamais.
Les rires, perdus dans l'enceinte
De cette école, se répercutent
Et me frappent comme un uppercut,
Et me font quitter cette étreinte
Qu'était l'amitié
Qui s'en va avec le vent d'été.
Ils me disent que c'est un au revoir,
Mais c'est un adieu, je ne suis pas sot, je peux le voir.
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Pensées de révolte
Poesiarecueil de poésie qui traite de différents thèmes, sur le monde d'aujourd'hui