La sphère brûlante est haute dans le ciel,
Les nuages ont disparu dans la mer céleste,
Il s'élève dans le fond bleu, l'arbre mortel.
Un grand arbre malade, fuit comme la peste,
Un arbre pauvre avec ses rares feuilles dorées,
Un arbre vieux repoussant l'éternel mort.
Cet Eucalyptus ne fait que croire, espérer.
Son dernier espoir, sa végétation en or!
Mais peut-il encore vouloir vivre s'il est seul?
Je l'ignore! Il a peut être un compagnon,
Un ami, sans doute un Chêne ou bien un Tilleul.
Pour moi, quand ma tête n'a pas de chansons,
Je regarde le seul qui entend le silence,
Le seul qui sait voir les plaintes dans les rires joyeux,
Le seul qui peut les réduire, les détruire. Il panse
Mes blessures, fait apparaître un sourire heureux.
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Les étoiles poétesses
PoetryRecueil de poème [Extrait] Voyez vous, le matin, le soleil se lever? Que voyez vous à travers ces obliques rayons? Une fille, dans son lit, entrain de rêver. Une étudiante créant des mots, vers, un long Poème retranscrivant sa pensée d'enfant. Voye...