Oh, cher lecteur, je vous demande de me croire!
Car, misérable poète, je ne puis voir
Ce que vous déchiffrez à travers ces quelques vers,
Mais rassurez vous, j'écris en étant sincère.
Croyez moi s'il vous plaît, croyez la pauvre fille
Qui espère, la pauvre fille qui frétille
D'impatience pour l'espoir qu'elle a d'être aimé
Pour ses écrits, ses horribles poèmes, ses maigres faits
Faits pour écrire son pitoyable roman
Où ses rêves s'écoulent sur ce papier blanc.Regardez la sincérité, la voyez vous?
Dites moi, n'apercevez vous qu'un poète fou,
Un écrivain qui n'écrit que pour lui, des rêves.
Le matin, je me demande quand je me lève:
Oh! Qu'ai-je demandé pour que cela soit moi?
Rien, c'est le destin qu'on fuit ou celui qu'on croit.
Baudelaire l'a écrit, je suis un oiseau,
Un albatros blanc volant au dessus de l'eau
Qui doit porter sur son dos des ailes de géant
Qui l'empêchent de marcher sur terre, bien souvent.
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Les étoiles poétesses
PuisiRecueil de poème [Extrait] Voyez vous, le matin, le soleil se lever? Que voyez vous à travers ces obliques rayons? Une fille, dans son lit, entrain de rêver. Une étudiante créant des mots, vers, un long Poème retranscrivant sa pensée d'enfant. Voye...