Voile blanc posé sur les yeux puériles,
Tu colores les iris et les longs cils
Et tu embellis la réalité
Mais, pour autant, sans la purifier.
Oh non! Tu n'es qu'une image, un beau rêve
Destiné à s'alimenter de sèves
D'arbres nommés comme étant influençables.
Je dis tout bas que ce n'est pas croyable
Que, toi, tu puisses toujours apprivoiser,
Belle et malicieuse naïveté.
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Les étoiles poétesses
PoesíaRecueil de poème [Extrait] Voyez vous, le matin, le soleil se lever? Que voyez vous à travers ces obliques rayons? Une fille, dans son lit, entrain de rêver. Une étudiante créant des mots, vers, un long Poème retranscrivant sa pensée d'enfant. Voye...