Chapitre 1

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Villa BenSaad
10h.

J'étais en plein rêve dans ma chambre quand j'entends soudainement des cris qui me ramènent à la réalité.

... : Assia ose faire ça je peux te jurer que tu sortiras de ma vie définitivement et tu retourneras faire la pute pour vivre !

... : La blague sérieusement, tu crois que j'ai besoin de ton avis, ce n'est ni ta fille, ni ta sœur, ni je ne sais pas qui. Je fais ce que je veux d'elle et tu ne vas pas m'en empêcher !

J'étais en train d'écouter attentivement lorsque on toque à ma porte.

Moi : Entrez.

La porte s'ouvre et je vois Yasmine, la femme de ménage de la maison.

Yasmine : Bonjour Jassmine, vous avez bien dormi ?

J'émets un léger rire.

Moi : Tu peux me tutoyer tu sais, ce n'est pas comme si ça faisait 1 heure qu'on se connaissait.

Yasmine : Tu as raison excuse moi, c'est un réflexe que j'ai pris avec Assia.

Moi : Elle ne mérite même pas qu'on l'a calcule celle-là, bref tu voulais me dire quelque chose de particulier ?

Yasmine : Oui je t'ai préparé ton petit-déjeuner, si tu as faim je te le pose sur ton lit.

Moi : Merci beaucoup Yasmine t'es un sucre.

Yasmine : De rien c'est normal ma beauté, si tu as besoin de quoique ce soit tu n'hésite pas d'accord ?

Moi : Ne t'inquiète pas je t'appellerai.

Elle hoche la tête et dépose mon petit-déjeuner sur mon lit, puis elle me fait un petit sourire que je lui rend et elle sort.

Je me redresse et me dirige vers ma salle de bain. Je fais ma toilette puis sort. Je mets un peignoir en satin noire et je commence à manger.

...

Quelques minutes plus tard j'étais toujours en train de manger quand j'entends que l'autre sorcière m'appelle.

Assia : Jassmine !

Je ne lui répond pas et commence à me lever.

Assia : Jassmine bordel de merde !

Putain mais ferme ta gueule j'arrive.

Assia : Jassmine bouge ton gros cul dépêche toi !

J'ouvre la porte de ma chambre et commence à me diriger vers le salon.

Moi : Il t'arrive quoi ?

Assia : Déjà tu vas me parler sur un autre ton, puis tu va gentiment me préparer mon petit-déjeuner.

J'émets un rire nerveux.

Moi : Je suis plus la petite gamine qui faisait tout ce que tu souhaitais ma belle, je suis pas ta chienne tu lèves tes fesses et tu te le fait toi même.

𝐶𝐿𝐴𝑁𝐷𝐸𝑆𝑇𝐼𝑁𝐴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant