Chapitre 9

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J'arrive à la fin des escaliers et me tient devant lui. Il me regarde mais ne dis rien.

Moi : Quoi ?

Aymen : T'es putain de sexy, clandestina.

Il me fit un clin d'œil et me prend la main. Nous sortons de la villa et montons dans sa voiture de sport puis il démarre.





Quelques heures plus tard...
Villa Inconnue.
Sicile.

Après plus de quatre heures de routes, nous arrivons enfin devant une grande villa. Celle-ci semble bondée de monde.  Aymen m'a expliqué que durant cette soirée nous devions faire semblant d'être un vrai couple marié.

Ce qui ne va pas être difficile étant donné son comportement envers moi depuis quelques temps. L'homme aux cheveux mi-longs se gare devant la villa et descendis de la voiture.

Il vint m'ouvrir la portière, tous les regards se posent immédiatement sur nous. Les gens bourrés, ceux qui se roulaient un patin sur la pelouse cessent tout mouvement, comme si le monde s'arrêta. Je sortis de la voiture et m'avança avec Aymen à mes côtés. Celui-ci m'attrape la taille et me colle à lui.

Nous pénétrons dans la villa, un homme âgé faisait un discours, il est assez grand de taille et son physique est atypique pour son âge. Il est brun avec le teint matte, ses yeux sont marrons. Son nez est droit et sa bouche est pulpeuse.

Lorsque son regard se posa sur nous, il nous sourit de toutes ses dents.

Lui : Comme vous le savez tous, nous sommes ici pour fêter la légation d'une partie de mon pouvoir à mon fils, Ayden.

Tout le monde applaudit.

Lui : Mais tout cela serait impossible sans le puissant héritier du plus grand cartel de de Colombie, du clan de Chlef Algérien et de la Ndrangheta calabraise qui se trouve parmi nous, veuillez l'applaudir.

Tous le monde nous regarda, puis nous nous frayons un chemin dans la foule sous leurs applaudissements. J'entendis les messes basses de certaines personnes sur moi mais je gardai la tête haute.

Nous montons sur la scène. Aymen s'approcha du micro toujours avec moi collée à lui.

Aymen : Je n'ai pas besoin de vos applaudissements d'hypocrites. Cessez.

Sa voix est ferme et pleine de mépris. Le vieil homme gloussa.

Lui : Aymen BenSahin, tu sais que tu es mon neveux préféré n'est-ce pas ? Si tu nous disiez qui est cette femme bellisima ?

Il s'agit donc de son oncle, et ce Ayden de son cousin.

Leurs regards se posèrent sur moi.

Aymen : Écoutez attentivement ce que je m'apprête à dire car je ne le répètera pas une deuxième fois. Il s'agit de ma femme, vous lui devez autant de respect qu'à moi. Vous êtes sous ses ordres, tous autant que vous soyez. C'est une BenSahin à présent, quiconque osera poser son regard sur ce qui m'appartient je le tuerai.

Il marque une pause.

Aymen : Si il faut réduire l'Italie toute entière en cendres pour que vous comprenez que personne ne la touche, je n'hésiterais pas une seule seconde. Je ne parle pas pour rien et vous le savez. 

Une jeune homme s'avança vers nous se démarquant de la foule. Celle-ci a d'ailleurs détourner immédiatement le regard.

... : Je pense que nous souhaitons tous savoir comme cela se fait-il qu'elle ne porte pas de bague ? C'est ta femme ou ta pute hein ? Cousin.

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⏰ Dernière mise à jour : Mar 03 ⏰

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