Chapitre 8

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Arjem : J'ai pris ma décision. Comme vous le savez tous, Jassmine a créer des gros problèmes au sein de la mafia. Et mon fils est incapable de les régler lui même, je l'ai donc fait.

Neyla : De quoi s'agit-il ?

Le vieil homme nous regarde tour à tour avec Aymen, puis prend la parole.

Arjem : Vous allez vous marier.




...



Point de vue Aymen :

Je le regarde avec animosité et haine. Il est tomber sur la tête ou quoi ?!

Moi : Hors de question ! T'es malade ?!

La clandestina le regarde choquée.

Elle : Pardon ?! Non, il n'en est pas question !

Aylem : Pourquoi elle devrait l'épouser lui et pas moi hein ?! Il a quoi de mieux que moi appart des beaux cheveux bouclés sérieusement ?!

Je le fusille du regard.

Moi : Ferme la.

Assem : Ce n'est pas le moment de plaisanter, sois sérieux pour une fois.

Mon petit frère semble vexé. Il croise ses bras autour de sa poitrine.

Mon père émet un rire nerveux.

Lui : Vous pensez vraiment que vous avez le choix ? On parle d'un empire tout entier, et pas n'importe lequel, il s'agit du nôtre ! Vous allez vous marier, fin de la conversation.

Moi : Je ne me marierais jamais avec elle !

Elle : Je ne me marierais jamais avec lui !


Point de vue Jassmine :

On se fusille mutuellement du regard.

Moi : Je préfère mourir plutôt que d'être associée à toi pour le restant de mes jours !

Aymen : Je préfère que l'on me tranche 100 fois la gorge que d'épouser une femme comme toi !

« Une femme comme toi »

Il pense m'atteindre avec ses paroles, il peut toujours aller voir la bas si j'y suis.

Moi : J'en ai strictement rien à foutre de ce que tu penses de moi, mais je ne te laisserais pas me marcher dessus. T'as compris ?

Plus on parlait, plus on se rapprochait l'un de l'autre.

Aymen : A qui tu crois parler ?! Hein dis moi, j'suis ta putain moi ?! J'suis ta salope c'est ça ?! Apprends à me respecter c'est un très bon conseil.

Sa voix est menaçante, mais je ne me laisse pas intimidée.

Moi : Je te respecterais quand tu me respecteras, le respect va dans les deux sens. Je suis pas ta pute pour que tu me parles de la sorte !

Je l'assassine du regard. On est tous les deux dans la même merde, mais il ne semble pas le comprendre.

Il s'approche violemment de moi et me plaque contre le mur. Je freine un gémissement de douleur. Je lève les yeux vers lui et plonge mon regard dans le sien.

𝐶𝐿𝐴𝑁𝐷𝐸𝑆𝑇𝐼𝑁𝐴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant