Chapitre 4

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J'étais toujours plongée dans mes rêves, lorsque je sens un poids sur ma poitrine. J'allume la lumière puisqu'il fait totalement noir puis baisse légèrement ma tête et vit Aymen la tête enfouie dans mes seins.

Il est vraiment insupportable.

Moi : Aymen.

Aucune réponse.

Moi : Aymen !

Toujours rien. Je souffle puis essaye de me lever pour le faire réagir, mais un bras m'encercle la taille pour m'en empêcher.

Moi : Aymen putain lève toi !

Aymen : Ferme ta gueule pourquoi tu hurles ?!

Il se redresse pour me regarder puis il bloque sur mon haut. Je suis son regard et vit qu'il a déplacé mon haut.
Je le remet en vitesse avant qu'il se fasse des idées perverses.

Moi : Je t'ai appelé plusieurs fois, t'es sourd ou quoi ?

Aymen : Me casse pas les couilles.

Je le regarde mal puis me dirige vers la salle de bain. Je fais ce que j'ai à faire et ressors. Aymen s'est redressé, il est concentré sur son téléphone portable, torse nu.

Putain. Ses abdos forment un V parfaitement bien fait. C'est un très bel homme.

Je décide de me diriger vers la baie vitrée, puis je l'ouvre et observe la magnifique vue qui s'offre à moi. Je ferme les yeux quelques secondes, lorsque je sens une présence proche de moi. Très proche de moi.

Je réouvre les yeux en sentant des bras m'encercler la taille et une tête se poser au creux de mon cou.

Moi : Lâche moi.

Aymen : Pourquoi ?

Moi : Nous ne sommes pas intimes, ni un couple pour faire ce genre de choses. Donc abstiens toi de faire ce genre d'approche physique puisque ça ne sert strictement à rien.

Aymen : Détends toi, tesoro. A moins que tu insiste tant pour que je me recule de ton corps par peur de céder, je me trompe ?

Moi : Je sais que tu rêverais que je te dise que je veux que tu me prennes ici et maintenant contre cette baie vitrée. Néanmoins ce n'est pas le cas. Tu peux donc continuer de rêver.

Il relève sa tête de mon cou et s'approche de mon oreille.

Aymen : en chuchotant Tu sais je connais comment les femmes fonctionnent. Je t'aurais un jour, tu seras mienne.

Je sens ses mains descendre vers mes cuisses intérieurs et remonter tout doucement. Puis il commence à me donner des baisers dans le cou.

Putain j'ai chaud.

Terriblement chaud.

Moi : en chuchotant Arrête.

Ses mains frôlent mon intimité. Bordel de merde je commence à me sentir a l'étroit. Je le repousse. Mais il a beaucoup plus de force que moi.

Aymen : en chuchotant Si tu savais comme je me retiens de ne pas t'arracher ton bas dans la seconde et de te prendre violemment ici et maintenant. 

Il me tourne brusquement vers lui et me regarde pendant que je le fusille du regard. Je pose mes mains sur son torse et le recule de moi.

Il attrape soudainement ma nuque et m'embrasse sauvagement. Je me fige essayant de comprendre ce qu'il se passe.

Il place ses mains autour de ma taille puis descend progressivement sur mon fessier sur lequel il donne une violente fessée. Je laisse échapper un gémissement. Je lui mord la lèvre et il se recule de moi.

𝐶𝐿𝐴𝑁𝐷𝐸𝑆𝑇𝐼𝑁𝐴Où les histoires vivent. Découvrez maintenant