Chapitre VII

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<< Si j'avais pris ce temps perdu au CAEB, j'aurais déjà éliminé au moins 5 pages de cours D'HISTOIRE-GEO>> dit Alma.
C'était le soir à 20h. Alma seule dans son grand lit, repense à cette matinée. Pour elle, c'était une perte de temps. Néanmoins, elle continue de vouloir à tout prix voir Maël.
Alma : Si seulement je pouvais le croiser, je serai très contente. Ce temps perdu ne me dira plus rien. Et si je me rends dans son école ? C'est sûr qu'il s'y trouvera... Mais d'abord je dois faire cette proposition à Bernice. Elle est pleine de bonnes idées.
Elle prit son cahier d'Histoire – Géo et commença à réviser jusqu'à ce que le sommeil l'emporte.
Quant à Maël, il prit froid suite au fait qu'il soit resté sous la pluie. Il va vers sa mère.
Maël : Maman j'ai très froid. Et j'ai des courbatures.
La mère de Maël : Vas dans la chambre. Tu verras sur la table un paquet de paracétamol. Prends deux comprimés.
Il fit exactement ce que lui demanda sa mère.
  
<< Dis-moi maman, crois-tu en l'union d'une femme riche et d'un homme très pauvre ?>> demanda Maël à sa mère.
Alma : Quand il s'agit de l'amour, les différences sociales n'ont pas une importance. Mais les riches, à cause de leur égoïste n'aiment pas se mettre avec les pauvres. Ils se disent peut-être qu'ils s'humilient.
Cette réponse de la mère rend Maël légèrement triste. Il ne dit plus rien.
La mère : Mais pourquoi cette question ?
Maël : Non maman. C'était juste une simple question de curiosité. Bon je te laisse, je m'en vais dormir. Il est 22h déjà. Passe une excellente nuit maman.
Il se sépara de sa mère et va dans sa chambre.
Le lundi matin, pendant qu'il se préparait à se rendre à l'école, son père lui dit :
Le père : Mon garçon, tient ! (Il lui tendît 9000f). Se sont les frais de dossiers pour ton examen. On peut rester affamé et même devoir le loyer, mais toi tu dois avoir ce BAC. Tonton Vital a payé hier le travail que tu lui as fait. Maël : Merci beaucoup papa. Je vais te rendre fier, je te le promets.
 
Il prit les 9000f et se mit en route pour l'école.
Il sonna 10h, l'heure de la récréation. Alma se retrouve en groupe avec son club de fille pour réviser un exposé qu'elles devraient présenter.
<< Mais dis donc, Alma ne pense plus à son amoureux. On dirait qu'elle a fini par voir la réalité >> dit Sandra. Bernice : Il s'agit ici d'un exposé à présenter. Pas de la vie privée de Alma.
Sandra : Peu importe. Avant que je n'oublie, Alma il y a un gar de la Terminale A qui demande à te voir ce soir. Il est gosse de riche, je te le promets.
Bernice : Le BAC est dans moins de 4mois. Dis-le au gar. Et puis, sa richesse n'a rien de positif à apporter dans la réponse de Alma.
Elles étaient toutes étonnées de voir Bernice répondre à la place de Alma.
<< Alma, tu ne parles plus toi ? >> Demanda Cendrine, la jumelle de Sandra.
Alma reste toujours calme, elle se concentre sur la lecture de son exposé sans dire mot.
 
Sandra : Je t'ai chargé la commission. Après ne vient pas dire que je ne t'ai rien dit. Il m'a demandé de te dire de l'attendre ce soir à 19h. Son prénom c'est Krist.
La sirène retentit. Le professeur fit irruption dans la salle. Le soir venu, Alma, pour ne pas voir le gar, filait pour aller dans la voiture. Mais hélas, son chauffeur n'était pas encore là. Elle ne pouvait plus fuir. Le garçon se rapprocha de lui :
<< Hey bonsoir. Je peux bien voir que ton chauffeur n'est pas encore là. C'était à croire qu'il me donne la chance de te parler. Moi c'est Krist et toi ? >>
Alma : Alma.
Krist : Enchanté. Tu as un joli prénom, je l'avoue. Tu résides où ?
Alma : Je réside chez mes parents. Et puis, on pourrait se revoir un autre jour s'il te plaît ? Je n'ai pas la tête à parler avec quelqu'un ce soir. Merci de me comprendre. Krist : D'accord. Donne-moi dans ce cas, ton numéro. On pourra s'écrire sur Télégramme ou WhatsApp.
Alma : Je n'ai pas de numéro.
Krist : Je sais que tu en as. Sois galante
 
Alma : D'accord j'en ai. Mais tu l'auras prochainement. Mon chauffeur est là.
Elle dépassa le garçon et vas dans la voiture.
<< Excuse-moi si j'ai pris du temps à venir ce soir. Je devrais aller retirer un argent chez un des locataires de ton père depuis le samedi soir. Mais j'avais oublié. Donc j'y étais tout à l'heure >> dit le chauffeur à Alma.
Alma : Tu n'as pas à t'excuser t'inquiète. Je sais que ce n'est pas de tes habitudes. Et tu as pu retirer l'argent ? Le chauffeur : Non. Il me faisait comprendre qu'il n'avait pas encore trouvé. Et je n'ai pas voulu insister. Vu que moi-même je dois des loyers à mon propriétaire.
Alma : Espérons que papa le prenne comme tu l'as également pris.

LE POUVOIR DE L'AMOUROù les histoires vivent. Découvrez maintenant