Chapitre 33

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Le lendemain, Maël prit le numéro du docteur qui s'occupait de sa mère et l'appela.

<<Je suis l'enfant de la dame qui est dans votre hôpital.>>

Bernice : Vraiment faites l'effort possible pour venir aujourd'hui, s'il vous plaît. Votre mère ne va du tout pas bien.

Les parents de Alma étaient très inquiets de sa disparition subite. Son frère l'appelle mais elle ne décroche pas. Sa mère décide d'appeler Bernice, peut-être elle saura où elle est.

La mère : Bonjour ma fille. S'il te plaît tu as eu les nouvelles de Alma depuis hier nuit ?

Bernice : Bonjour maman. Elle a passé la nuit chez moi. Je croyais qu'elle vous avait prévenu.

La mère : Non ma fille. S'il te plaît veille bien sur elle. Qu'elle ne fasse pas de bêtises.

Alma était avec la mère de Maël. Celle-ci adorait sa présence.

Bernice : Maman apparemment vous aimez ma copine plus que moi inh ! Je suis jalouse.

La mère : Non ma fille. Je vous aime toutes les deux. Mais il y a quelque chose en elle qui m'attire beaucoup.

Bernice : En tout cas je suis contente que vous alliez bien. J'ai eu votre enfant au téléphone ce matin. Il sera là dans la journée.

La mère de Maël : Oh Dieu merci.

Elle demande à Alma de ne pas rentrer.

La mère de Maël : Ma fille ne rentre pas s'il te plaît. Attends pour voir mon garçon. Je suis sûre qu'il va te plaire. Je veux que tu sois ma belle-fille.

Elles se mirent à rire. 5h du temps plus tard, Maël était à Porto. Mais il va d'abord sur la tombe de son père.
<< Papa, j'aurais souhaité que tu sois là pour m'aider à gérer cette situation. S'il te plaît que vais-je faire ? Dois- je accepter de continuer cette relation avec Alma ? C'est son père qui était notre propriétaire. S'il te plaît, je sais que tu m'entends. Fais donc un signe pour me permettre de comprendre ta réponse >>.

Après ça, il prit le départ pour l'hôpital. Il demanda à voir le docteur. Mais on lui fit comprendre qu'elle était sortie et qu'elle ne devrait pas tarder. Il prit dont siège et attendit

Quelques minutes plus tard, le docteur était de retour. On lui annonçait que le fils de la patiente était là. Elle demande à ce qu'on le fasse venir dans son bureau. L'ayant vu, Bernice s'écria :

Bernice : Maël ?

Maël : Oui c'est moi. Euh vous me connaissez ? ... Attendez votre visage me dit quelque chose...

Bernice : C'est Bernice, la copine de Alma.

Maël : Oh oui oui. Je me rappelle. Comment vas-tu ? Mais quelle coïncidence ! Il y a belles lurettes !

Bernice : Donc c'était ta mère ? Ah , l'amour a de puissants pouvoirs.

Maël : Pourquoi dis-tu cela ?

Bernice : Suis-moi. Tu vas toi-même le constater.

Elle le conduit dans la salle où se trouvait sa mère. Maël vit Alma entrain de donner à manger à sa mère.

La mère : Mon garçon ! Tu es rentré enfin. C'était cette jolie fille qui prenait soins de moi depuis trois jours. Le frère de ton défunt père ne vient plus me voir.

Mais Maël ne dit rien. Il resta silencieux. Il ne comprenait plus rien.

Alma : Maman c'est donc votre fils ça ?

La mère : Oui ma fille, c'est mon fils aîné. Le benjamin a déjà fondé sa famille, il est au Nigéria.

Alma : C'est étrange.

Elle se leva et sort en courant.

La mère : Mais où vas-tu ?

Maël : Maman ne t'inquiète pas. Tu vas bien ? Tu as pris tes médicaments ?

La mère : Oui. Mais il ne faut pas que cette fille s'en aille. Tu dois la remercier pour tout ce qu'elle a fait pour moi. Peut-être qu'elle peut t'intéresser. Vas-y, cour pour la rattraper.

Bernice demande à Maël de s'occuper de sa maman. Elle sort et va voir Alma.

Alma : Ma chérie, qu'est-ce qui se passe ?

Bernice: C'est simple. Vous êtes fait pour être ensemble. Votre amour est trop fort.

Alma : Crois-tu qu'il va pardonner à mon père ?

Bernice : Il l'a déjà fait.

Elles se parlèrent quand la mère de Alma appelle Bernice.

La mère : Dis à ta copine que nous sommes rentrés à Porto. Elle peut venir à la maison.

Bernice chargea la commission à sa copine.

Alma : Je n'ai même plus envie de voir la tête de mon père.

Bernice : Mais tu dois rentrer.

...A suivre...

LE POUVOIR DE L'AMOUROù les histoires vivent. Découvrez maintenant