One-shot lemon🔞

5 : le voisin

Je m'appelle Cassandra et je suis nouvelle dans l'immeuble. Je vis au troisième étage, et à côté de moi vit un tunisien à tombé par terre. Il a les yeux presque aussi noir que ses cheveux et est parfaitement bronzé.
Aujourd'hui, je l'ai aperçu en remontant chez moi, à la salle de sport. J'ai vu ses abdos bien dessinés, et la sueur qui coulait sur tout son corps.
Je crois que je n'ai jamais été aussi exciter.
Justement, aujourd'hui je suis aller m'acheter quelques "jouets", que je me ferai un plaisir d'essayer pour me calmer un peu. Meme si je sais que tout ce dont j'ai besoin c'est d'un bite, je devrais me contenter de mes godes.
Je lance un bon site porno et commence à me détendre sur mon canapé.
J'introduis un doigt en moi, puis deux, puis trois,  et commence à faire des aller retours lent en me titillant le clitoris en même temps.

Je lache parfois quelques cris, et, quand je décide que je suis assez excitée, je prend mon gode et l'enfonce lentement en moi.
Ca me fait beaucoup de bien. Je gémis quand je commence a faire de rapides allers retours. Je suis au bord de la jouissance, mais d'un coup, la sonnette de la porte retentit. Je me couvre d'un peignoir et y vas sans même prendre le temps d'éteindre le film qui tourne.
J'ouvre la porte et suis surprise de constater que mon voisin se trouve derrière, une épaule appuier sur le mur.

Ses yeux ténébreux me transcendent, et je bégaye :
- Bon... Bonjour...
Il sourit et dis d'une voix charmeuse :
- Tu me fais entrer ?
Je m'efface pour le laisser passer, et il voit le film qui passe sur l'ordinateur.
Il se retourne lentement vers moi avec un sourire en coin :
- Je pensais pas que tu étais branché par ce genre de choses...

Sa voix grave m'excite, ses yeux noirs m'embrasent.
Je reste plantée la, au milieu du salon, avec seulement les gémissements venants du porno pour briser le silence tendu.

Soudain, il réduis la distance entre nous et viens plaquer ses lèvres contres les miennes. Il essaye d'être doux, mais je ne suis pas de cet avis là, et rend le baiser sauvage. Nos langues tourbillonnent ensemble.

Il pose ses mains sur mes fesses et s'avance pour me plaquer contre le mur. J'entoule mes jambes autour de lui, et constate qu'il y a déjà une bosse qui déforme son pantalon. Je frotte mon sexe contre le siens pour lui montrer que je suis excitée.

Ses lèvres quittent les miennes et descendent dans mon cou. Quand il commence à aspirer la peau se mon cou, j'ai le réflexe de mettre mes mains dans ses cheveux.
Il le soutien toujours avec ses mains sur mes cuisses.
Ses lèvres descendent de plus en plus, et commence à aspirer la peau si sensible de mon sein gauche. Il fait de même avec le droit puis recule sa tête, me tirant un gémissement de frustration.
Il sourit et susurre :
- Patience... je fais t'en donner moi une raison de crier.
Mes yeux sont dans les siens et j'ai une main dans ces cheveux et l'autre sur sa nuque.

Soudain, il m'emmène sur le canapé, m'allonge sur le dos et me dit :
- Tu as confiance en moi ?

Je hoche la tête lentement avec, quand même, une expression de méfiance peinte sur le visage.
Il sort de sa poche un bout de tissu comme j'identifie étant un bandeau.
Il me bande délicatement les yeux, et, mes sens n'en sont que plus développés.

Il commence à retirer mon peignoir, et je le laisse faire. Je n'avais rien en dessous, ce qui fait que je suis maintenant tout à lui, nue sur le canapé, les yeux bandés.
Je sens ses mains frôler la peau fine de mon coup, et je retiens mon souffle quand il commence à descendre plus bas. Ses mains frôlent le côté de mes seins, mais continuent leur trajet. Jusqu'à mon bas-ventre. Je sens son souffle chaud sur mon intimité. Je sais qu'il hésite.
- Vas-y...
Souflais-je.
Je sens sa bouche se poser enfin sur mon intimité. Il me lèche, m'aspire, jusqu'à ce que je ne puisse plus faire autre chose que gemir en plaquant sa tête contre moi. Il maintient mes hanches pour pas que je ne bouge.

Il enlève sa bouche de moi, alors que j'étais à la limite de l'orgasme. Il met ensuite un doigt en moi, puis deux, puis trois. Ca glisse tout seul. Il plaque violement ses lèvres contre les sienne, alors que je n'avais même pas remarqué qu'il était remonté au niveau de ma tête.
Il continu les allers retour avec ses doigt. Puis il les enlève et me retire mon bandeau. Je le regarde dans les yeux, et je vois une lueur de désir s'allumer.

Je déboutonne son pantalon et essaye de lui enlever, mais comme il voit que je n'y arrive pas, il l'enlève. Je profite de ce moment d'inattention pour retourner la situation et me mettre au dessus de lui.
Je l'embrasse en bougeant sensuellement sur lui. Je sens bien la bosse sur son entre-jambe.
Il glisse entre mes lèvres :
- Putain, si tu fais ça, je ne vais pas pouvoir me retenir...
- Qui t'as demander de le faire ?
Demandais-je avec un sourire félin après avoir enlever mes lèvres des siennes.
J'etait maintenant nue sur lui, mes mains posés sur son torse, frottant mon intimité sur la sienne, seulement séparés pas son caleçon.
Je lui retirait vivement et le fait entre en moi brusquement, m'arachant un petit cris. Je continuais de le chevaucher, et il repensais son jus en moi. Je ne tarda pas à le rejoindre, puis on continua jusqu'à l'épuisement.