Vie antérieure - John B Roudeledge

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TW : 🦓 🩸

Il venait de me surprendre, j'avais recommencer. Mais cette fois-ci, il avait gardé son calme et s'était juste mis à pleurer.
A vrai dire, je préférais qu'il s'enerve. Le voir pleurer par ma faute est la pire sensation.

John B : Schana... Il s'est passer quoi cette fois ? Pourquoi tu ne peux pas t'en empêcher ? Ils vont t'y ré emmener !

Schana : Je suis désolée Bee.

John B : Non Schana. Être désolée ne changera rien à la situation ! Tu as vu la profondeur de la plaie ! Il faut la recoudre !

Qchana : Alors fais le.

John B : Tu te fous de moi ? Il y a des risques d'infection !

Schana : Je ne veux pas y retourner alors soigne-moi. S'il te plaît Bee, fais le pour moi.

John B : Je vasi chercher le matériel. Chuchota t-il avec un air désespéré.

Il s'en alla puis revint et me soigna ma plaie.

John B : Interdiction de bouger pendant 3 jours. Et aussi interdiction que tu sortes de la chambre. Déclare t-il avant de claquer la porte et de ne plus revenir.

Je savais qu'il allait m'en vouloir. Il a toujours était comme ça. Lorsque je rechutais, il rechutait avec moi. Je l'emmenais toujours vers le bas. L'enterrer avec moi, le faire souffrir par ma faute. Mais il me l'avait promis au début de notre relation, lorsque je lui avais montré mes cicatrices. Mais depuis je n'avais que l'entraîner dans ma longue et douloureuse chute vers les enfers.

Il m'avait peu parlé de son passé, lui. Ni de son père décédé alors que je m'étais exposé à cœur ouvert devant lui. Mais lui non, il n'avait jamais voulu parler de sa vie antérieure, enfin celle qu'il avait avant de me rencontrer.

Comme je devais tuer le temps, je commençais à fouiller la chambre, à la recherche de mon ancien journal de bord. Celui que je tenais lors de notre fuite, enfin la mienne, il m'avait suivis, comme il l'avait toujours promis. J'avais fuis mes parents qui voulaient me kidnapper pour m'emmener sur les îles du canari et je ne voulais pas y aller, au final, ils m'ont laisser vivre avec ma grand mère.

Sur ce, je tombais sur un drôle de livre. Ce n'était pas mon journal. Celui-ci était beaucoup plus vieux. Et puis ce n'était pas mon écriture. Je reconnaissais ici l'écriture de John B. Apparement son père avait disparu, soupçonné de décès et réapparu à tuer des gens devants les yeux de son fils et est mort devant lui sans que John b ne puisse rien faire et tout ça a cause d'un trésor...

John b me l'avait toujours décris comme quelqu'un de formidable mais je ne l'avais jamais imaginé comme cela... Et plus loin, après de nombreuses pages blanches se trouvait un chapitre écrit plus récemment.
John b s'était aussi infliger les pires tortures et était aller en hôpital psychiatrique avant de me rencontrer. Comment avait-il pu me le cacher ? C'est quelque chose dont il en parle facilement quand ça me concerne mais pas lui ? Je ne comprenais pas, alors j'attendais son retour afin d'obtenir des explications.

17h

John b était enfin rentré et aussitôt il ouvrit la porte, aussitôt je lui jetai le journal sous le nez. Il le regarda d'un air livide et me dévisagea.

John b : Ne me dis pas que c'est ce que je pense. Comment tu es tombée là dessus ? Je l'avais caché ! Schana bordeel ! Tu sais pas t'occuper de tes affaires ?

Schana : Pourquoi  tu ne me l'a pas dis ? Je suis dans la même situation que toi et tu me le caches ?

John b : Je ne voulais pas t'embêter avec mes histoires anciennes. Et puis tu n'avais pas besoin d'être au courant.

Schana : Justement ! Ça aurait pu m'aider Bee.

John b : Non au contraire ça nous aurait fais replonger. Et tous les deux, sans que l'un d'entre nous ai une conscience normale.

Schana : Ça me vexe la ! T'es entrain de dire que je suis folle !

John b : Mais pas du tout scha ! Calme toi !

Schana : ok ok ? Mais tu insinues quoi alors ?

John b : Ok j'en ai honte. T'es contente ? J'ai honte de ce que j'ai fais !

Schana : Mais Bee ! Tu n'as pas à avoir honte du tout ! Tu es comme moi ! Et c'est parfait comme cela !

John b : Je suis désolé scha...

Schana : Viens ici ! Dis-je en ouvrant mes bras et l'accueillant. Maintenant on se dit tout.

John b : Promis scha.

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Voilaaaaa

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