16.

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L'atmosphère dans l'atelier était en train de changer, permettant un rapprochement beaucoup plus propice entre les deux amants qui ne faisaient que s'observer sans jamais se quitter des yeux. Evelyn savait que ce qu'elle s'apprêtait à faire était mal mais elle n'arrivait plus à résister au charme du peintre qui la dévorait littéralement des yeux. Il était magnifique. Il était tout ce qu'Evelyn aimait. Puissant, charismatique, talentueux, beau... sexy.

« Mademoiselle Yoon... maintenant que nous ne sommes que tous les deux, allez-vous enfin me dire la raison pour laquelle vous êtes réellement venue me voir ou bien faudra-t-il que je vous tire les vers du nez ? » susurra le peintre aux oreilles de l'étudiante qui frissonna.

Ses lèvres s'entrouvrirent d'elles-mêmes comme pour dire un mot mais aucun son ne passa la barrière des lèvres pulpeuses de l'étudiante.

Il continua de la détailler avec insistance puis son regard s'attarda sur sa mini-jupe et sur ses jambes. Il laissa glisser ses longs doigts sur les jambes parfaitement lisses de l'étudiante qui soupira à ce simple contact de la part du professeur.

« Monsieur Kim... »

La respiration de l'étudiante s'accéléra et devint de plus en plus haletante. Un léger voile vitreux prit place devant ses yeux.

« Mademoiselle Yoon, vous êtes très dangereuse mais sachez que je peux l'être encore plus... » Il agrippa les fesses de l'étudiante qui poussa un cri de stupeur avant de la coller contre l'un des murs de l'atelier. « Vous n'auriez jamais du venir me voir mademoiselle Yoon... »

Il continua de malaxer les fesses de l'étudiante qui se mit à gémir, ne pouvant plus se retenir.

« Monsieur Kim... je vous en prie... »

Il arracha le string de l'étudiante comme une vulgaire feuille de papier et le renifla avant de le balancer à l'autre bout de l'atelier.

« Je vous l'ai dit mademoiselle Yoon... je peux me montrer encore plus dangereux que vous. » dit-il en mordillant les lobes d'oreilles de l'étudiante qui continuait de soupirer de plaisir.

Soudain, il la souleva et la déposa au milieu de son atelier, entourée de ses peintures. Il se débarrassa de son gilet ainsi que de sa chemise, laissant l'étudiante découvrir sa peau laiteuse ainsi que son torse lisse et sans défauts pour la toute première fois. Elle ne pouvait pas s'empêcher de l'admirer, de le vénérer, de le toucher avec prudence, comme s'il était un ange descendu du ciel.

« Monsieur Kim... votre gouvernante... »

« Il fallait y penser avant de venir me voir dans cette tenue mademoiselle Yoon. Maintenant, c'est trop tard. »

Il plongea ses lèvres sur la nuque de l'étudiante qui gémit comme jamais. Le peintre était en train de marquer le cou de l'étudiante de morsures, et de suçons comme pour montrer au monde qu'elle lui appartenait et qu'il était désormais prêt à se battre pour elle. Il éclata le chemisier de l'étudiante dont les boutons sautèrent et l'envoya lui aussi à l'autre bout de l'atelier. Enfin, il découvrait sa poitrine ferme et ronde qui était maintenue par un soutien-gorge en dentelles noir. Décidément, mademoiselle Yoon connaissait les goûts de son professeur trop bien.

Il glissa ses doigts entre les seins de l'étudiante qui perdait déjà patience et se retenait tant bien que mal pour ne pas presser le peintre. Il finit enfin par détacher le soutien-gorge de la belle qui dans un réflexe cacha sa poitrine à la vue du beau brun qui s'attaquait au ventre de la jolie brune en y déposant de tendres baisers humides. Ses mains attrapèrent la mini-jupe de la belle qui serra ses cuisses par peur de faire découvrir son intimité à son professeur.

Monsieur KIMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant