A l'entente des mots du directeur, je me mis à frissonner, mon visage maintenais une expression surprise, mes yeux commençait à être vitreux menaçant de faire rouler quelques larmes le long de mes joues roses. Je ne pouvais pas croire les mots du directeur, pourquoi on ne m'avait pas prévenu?
Comment je vais faire toute seule? Je viens de perdre la personne que j'aime? Est-ce seulement la vérité?Milles et une question me traversait l'esprit faisant tomber quelques larmes, ce que le directeur remarqua tout en baissant les yeux ayant une certaine empathie envers moi.
- Toute mes condoléances, mademoiselle.
Il disait, se qui me déchira le cœur encore plus qu'il ne l'était déjà. Mon cœur battait vite, ma gorge était serrée, mes larmes coulaient le long de mon visage, mon visage était désemparé.C'est alors que je me retourna, le directeur ne leva pas les yeux, comprenant sûrement le fait que je n'avais pas envie de parler, je commençais à partir de la salle puis du bâtiment, quittant cette école.
J'étais en train de rentrer chez moi en regardant le sol, toujours abasourdi, les larmes encore sur mes joues.
Mon cœur était brisé en milles morceaux,
je l'aimais tellement.. pourquoi est-il mort..?Je commençais à courir, je ne voyais presque rien à cause des larmes qui s'installaient dans mes yeux, je m'empressa d'ouvrir la porte de la maison avant de m'allonger sur le lit en pleure.
Je pleurais, je criais de frustration malgré le fait que ma gorge sois serrée, je me battais avec moi même.
Actuellement je voulais juste en finir avec moi même, ne plus revoir mon mari me rendait tellement triste et en colère que je m'acharnais sur moi même ou plutôt sur mon coussin, celui dans le quel tout mes sanglots tombait et celui dans le quel tout les cris étaient étouffés pour ne pas attirer l'attention des voisins, mais j'étais tellement dévasté que je ne me préoccupais même plus.Je fini par me laisser tomber de fatigue, dans mon lit, mes larmes maintenant séché.
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Je me réveillais, j'avais dormi pendant combien de temps? Je me tourna vers mon téléphone et le saisi.
La lumière de l'écran me fis cligner des yeux plusieurs fois avant que je ne puisse voir l'heure,
l'heure affichait 18:47.Un soupire quitta la barrière de mes lèvres avant que je ne regarde à côté de moi, à la place de mon mari, pour voir si je n'avais pas juste fait un mauvais rêve mais il n'était pas là..
Comment allais-je faire? Il fallait déjà que je prépare l'enterrement mais pas seulement, il fallait que je dise à sa famille ce qui c'était passé, que je fasse les papiers, je ne parle même pas de l'organisation.. Et le loyer? Comment allais-je le payer? J'étais psychologue, j'avais de l'argent, se n'est pas ce qui m'inquiète. Le problème était qu'on habitait au centre de Tokyo, par conséquent le loyer était beaucoup plus élevé et coutait plus cher que se que je remportais par mois.