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Je le regarda un peu surprise.
- Comment ça mon numéro. Dis-je dans l'incompréhension, on se connaît depuis vraiment pas très longtemps pourtant il veut déjà mon numéro.
- Oui ton numéro, on est ami je te signal! Et ma mission c'est de faire en sorte que ton deuil dure le moins longtemps. Dit- il en souriant. - Et puis tu sais que c'est la meilleure chose à faire!
- Satoru on est arrivé. Dis-je en essayant de changer de sujet, j'ai du mal à le cerner. Il est un peu compliqué à comprendre parfois.
- Ayame, dit toi bien que même si tu me le donne pas je l'aurai quoi qu'il arrive! Dit-il avant de commencer à piailler tout en marchant a côté de moi pour que je puisse lui donner mon numéro. Il est énervant aussi, parfois.
En l'ignorant, nous marchions jusqu'au bâtiment où je me suis rendu hier. J'en profitais alors pour regarder un peu plus autour de moi étant donné que la dernière fois j'étais dans mes pensées.
Étant donné que ce matin il neigeait les arbres étaient blanc, et le ciel était bleu, aucun nuages apparent. Il y avait du soleil mais pourtant ça ne faisait pas fondre la neige, il n'y avait pas de vent mais l'air était assez frais, se n'était pas désagréable.
C'est ainsi que nous arrivions dans le bâtiment alors que mon cher ami aux cheveux blanc et au lunettes noir me montrait le bureau de mon mari.
- Un jour tu me le donnera tu verras! Dit Satoru un peu frustré du fait que je l'ignorais.
- C'est là son bureau? Demandais-je alors qu'il hocha la tête.
- Ouais, je me souviens qu'il avait supplier le directeur de lui en passer un pour qu'il fasse ses rapports à la fin des missions qu'il entreprenait. Dit-il alors que moi je regardais les photos qu'il y avait sur son bureau.
- Mouais, ça fait à peine quelques jours qu'il est décédé... Après de réflexion, je préfèrerais prendre ses affaires après l'enterrement.. Désolé de t'avoir fait faire du chemin pour rien.. Dis-je la mine un peu triste en y repensant. Alors que Satoru me regardais, pendant que j'était dans mes pensées il me fis revenir à la réalité en parlant.
- T'inquiète pas, sinon, il aurait quand même pu te prévenir. Dit-il me laissant un peu perplexe sur ses mots.
- Qu'est-ce que tu veux dire? Demandais-je à l'homme au cheveux de neige alors qu'il mettait sa main dans son cou.
- C'est même pas le directeur qui lui a donner une mission dans mes souvenirs. Il y a été de lui même, le directeur n'était pas ravi de ça quand il a apprit qu'il y était allé sans le prévenir. Mais ça c'était avant qu'on apprenne sa mort.. Dit alors Satoru me laissant surprise.
Je retenais mes larmes de tomber, ça ne lui ressemblait pas de faire ce genre de coup. Il n'a même pas pris la peine de m'envoyer un message... Je ne voulais tout simplement pas le croire. Mais par pure ego je ne fis pas verser une seule larme le long de mes joue. Je ne voulais pas paraître faible.
- Changeons de sujet Satoru.. Je crois que je vais partir. C'est mieux comme ça. Dis-je avant de juste prendre un des cadres photos posé sur le bureau de la personne dont j'était éperdument amoureuse, on pouvait voir mon mari et moi en train de se câliner au bord de la mer.
Après l'avoir saisi je me mis à avancé vers la porte.
- Eh! Mais attend, laisse moi au moins te raccompagner Ayame. Dit-il laissant échapper un soupire alors que ma main était sur la poignée de la porte. Je me tourna vers lui. A vrai dire je n'avais pas envie de rentrer seule donc j'hocha la tête de manière à dire le mot oui. C'est ainsi qu'un sourire se dessina sur ses lèvres et qu'il accouru a côté de moi avant de me raccompagner chez moi.
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Ça fait maintenant quelques semaines que je n'avais pas revu Satoru et quelques jours que je n'étais pas revenu au travail, j'avais bien évidemment écrit un mail à mon patron lui expliquant ma situation en m'abstenant de parler du métier de mon bien aimé. J'étais donc en congé payé et étant donner que j'avais de bonnes relations avec mon patron j'ai pu négocier quelques semaines.
Je me réveillais dans mon lit, je regarda l'heure, avant de laisser un soupire s'échapper de mes lèvres. Mes mains se plaçais contre mes yeux les frottant légèrement pour pas me faire mal. Je regardais autour de moi avant de descendre de mon lit et de me diriger vers la cuisine pour prendre mon petit déjeuner. En ouvrant le frigo je me rendis compte qu'il n'y avait plus grand chose.
Le visage rempli de frustration et d'énervement. J'alla à la salle de bain, je me lavais, me brossais les dent, puis m'habillais avant de me coiffer et de faire le stricte nécessaire pour ressembler à quelque chose, je saisi mon porte feuille, pris les clés de chez moi et sorti dehors. L'air frais se hissa le long de mes cheveux et fis trembler légèrement ma peau malgré les vêtements chaud et confortable que je portais.
C'est avec les frissons que me procurait le froid que je me dirigea vers le supermarché le plus proche, la flemme était présente et je marmonnais quelques mots me plaignant ouvertement du fait que mon frigo était vide sans ajouter le froid matinal.
Après quelques minutes de marche je fus arrivé et cela tombais bien car il commençait à neiger, je me dirigea alors à l'intérieur du supermarché, marchant dans les différents rayons pour prendre ce que je prenais d'habitude ainsi que quelques aliments nouveaux pour d'autres recettes que je ferais plus tard pour le repas ou pour le dîner.
Dans ma tête se bousculait plusieurs pensées pendant que je choisissais soigneusement les plusieurs choses que je prenais. J'évitais a présent de prendre les aliments que mon mari aimais car cela pourrait éveiller de la nostalgie, surtout que, ses aliments favoris étaient aussi ceux que j'aimais le moins. En fait je me forçais un peu, mais c'est normal il faut savoir ce sacrifier dans un couple non?
Soudain, marchant à toute vitesse dans les rayons pour trouver la caisse, mon corp rentra en contact avec une personne brutalement ce qui me fis basculer vers l'arrière, par réflexe je ferma les yeux m'attendant à un choc mais à la place la personne logea sa main droite autour de ma taille et sa main gauche sur la mienne. M'empêchant ainsi de tombé.
- Désolé mademoiselle je-. La personne arrêta de parler avant que je n'ouvre les yeux.
Apercevant des jolie lunettes noir et les cheveux blanc légèrement ébouriffé d'une personne dont la présence est devenu presque une habitude.
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1142 mots ALORS... Je tiens tout d'abord à m'excuser du retard, je n'est pas trop trouvé l'inspiration et la reprise des cours ma fait perdre un peu de mon temp libre. Mais en tout cas je les poster! ( en fait de base ce chapitre devait être poster plus tôt mais je n'est pas trouver les mots que je voulais pour une partie du coup j'ai ragé et au final j'ai trouvé le mot plus tard mais j'avais pas le temps ) En tout cas merci de lire et n'hésitez pas à voter et mettre des commentaires, les abonnement aussi c'est permis d'ailleurs je m'abonne en retour! Bisous
