Mon visage devins surpris à la vue de la personne en face de moi, qu'est-ce que Satoru faisait ici?
- Je tes manquer? Dit-il en souriant.
- Satoru, je n'est pas envie de rigoler en ce moment tu le sais bien non.. Dis-je en détournant le regard avant que mes lèvres ne forme un petit soupire.
- Je sais, désolée Ayame, toute mes condoléances. Dit-il en prenant un air plus sérieux avant qu'il ne me "regarde" enfin, c'est ce que je pense étant donné qu'il a des lunettes.
- Merci.. Dis-je timidement. Je le connais depuis pas si longtemps que ça et il sais déjà ma situation et mon lieu de travail. - Comment tu sais que je travaille ici? Demandais-je en le regardant.
- Tu ma dit que tu étais psychologue, et puis le directeur m'a dit qu'il y avait encore des affaires à Yuri, donc il m'a demandé de te les donner sauf qu'on savait pas où tu habitais du coup j'ai cherché dans tout les cabinet si il y avait une psychologue qui s'appelait, Ayame Miyara. Dit-il fièrement en souriant.
- Hum et bien où sont les affaires de mon mari dans ce cas? Demandais-je avec confusion.
- A l'école d'exorcisme. Dit-il en souriant, je le regardais avec encore plus de confusion.
- Ayame, Ayame. Tu n'est plus aussi souriante que la première fois qu'ont c'est vu et c'est complètement normal. Cependant, c'est un gâchis de te voir te morfondre à cause de la mort de ton mari et te voir focaliser sur ça. Surtout que j'étais un bon ami à Yuri et qu'il aimerait pas te voir comme ça! Dit-il toujours avec le même sourire.
- Satoru... les seules fois où tu ma vu c'était hier et aujourd'hui il y a maintenant 23minutes. Dis-je en regardant ma montre alors qu'il rigole légèrement.
- Raison de plus pour apprendre à se connaître et devenir amis! Dit-il avec un grand sourire dessiné sur ses lèvres. Avant que je ne soupire, le regardant une nouvelle fois.
- Satoru, je n'est pas envie de me faire des amis en ce moment... C'est même la dernière chose que je veux actuellement. Dis-je catégoriquement avant qu'il ne mette sa main sur son cœur en prenant une pose.
- Aïe, ça fait mal à mon cœur. Dit-il avec une mine blessée avant que je ne le regarde l'air légèrement agacé même si je l'avoue en temps normal j'aurai sûrement rigolé à ses bêtises.
- De toute façon je veut avoir les affaires de mon mari... Donc il va bien falloir que je te suive. Dis-je en me levant alors qu'il souriait fortement comme un enfant de huit ans.
- Allons y alors! Dit-il en souriant avant que nous ne quittions le cabinet ensemble.
Sur le trajet, il faisait que de me parler. Mais après un petit comment j'engagea aussi la discussion.
Je lui disais que je ne savais pas comment m'organiser avec l'enterrement et les papiers.