02.Yeux noirs.

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Amanda

ÉTAT-UNIS CHICAGO, LIBERTINE 23 :45

L'ascenseur s'arrête, les portes s'ouvre.

Quand je sors, je constate un grand couloir qui longe jusqu'aux fond, il y a plusieurs portes de gauche à droite avec des numéros inscrit au-dessus.

Je marche en serrant mon carnet dans mes mains accompagner de mon stylo, l'ambiance me donne la chair de poule, c'est aussi sombre les couleurs qui ressortent le plus sont le noir et le gris irisés.

Il y a aussi des tableaux accrochés dans les murs je vois que dans toutes les peintures des femmes sont représenté dans des positions érotique, elles sont peintes nu également avec du sang qui éclabousse, des bleus de partout sont réaliser aussi, des cicatrices sont faites régulièrement dans tous leurs corps ces tableaux montre qu'elles se font torturées. J'ai un frisson de peur en voyant ces peintures.

Alors c'est vrai ?

Elles se font vraiment torturées.

Ce n'était vraiment pas une rumeur.

Cela est vrai depuis le début.

Je décide de fermer mes yeux pendant un moment puis les rouvres et reprends ma marche, mais j'ai tellement de questions qui trotte dans ma tête !

Pourquoi on leurs affligent cela ?!

Elles ont fait quoi pour mériter sa ?!

Les femmes subissent cela et les hommes non ?!

CES HORRIBLE !

Les numéros défilent de plus en plus, je presse le pat encore un peu quand je croise le numéro neuf dans une porte à ma gauche alors ça va veut dire que...le dix est juste en face. Je me tourne pour vérifier si cela vrai et c'est totalement exact. Je souffle un bon coup, puis toque trois coups.

1

2

3

J'entends la porte s'ouvrir je me recule derrière un peu, un garde du corps est sorti tellement vite que je n'ai pas eu le temps de voir l'intérieur. Il me regarde de sa hauteur, je frissonne de peur en croisant son regard sombre.

- Bon-bonsoir, je suis la serveuse je dois servir votre salle messieurs, répondis-je d'un ton neutre.

Le garde a les épaules croisées entre lui ce qui fait que ses muscles rebondissent, il décide de prendre la parole ;

- Elle est où Paola ? dit-il d'un ton hyper sec.

Merde.

- Paola ? elle ne se sentait pas très bien je pense, je suis sa remplaçante pour aujourd'hui.

- Hum.

Il se décale pour m'ouvrir la porte de suite, j'entends de la musique de là ou je suis. Le garde du corps se met de côté pour me laisser passer je lui réponds un" merci «, puis je rentre à l'intérieur il referme la porte dès la seconde qui suit je sursaute en entendant le bruit que son fait.

Mes talons claquent le sol quand je marche, la musique s'intensifie de plus en plus. Il y a des rideaux de perles qui bloquent mon passage alors je traverse directement pour pas perdre de temps.

Je lève mes yeux de là où je suis et voit qu'il y a une dizaine d'hommes installer dans un fauteuil en cuir marron foncé, deux petites tables basses sont misées aussi et un bar de striptease est également à côté d'eux, des femmes sont assissent pour leurs tenir compagnie bien évidemment.

Je décide de marcher, mes pas son arrêté à quelques centimètres d'eux et l'attention des personnes surtout des hommes se mettent à me regardent.

Je déteste quand tout le monde a le regard vers moi.

VengeanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant